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    Joyeuses Pâques !!!

     
    Etant absente ce week-end ,je mets donc ce blog en pause pour trois jours !!!Je  répondrais  aux  coms que mardi matin,que vous aurez eu la gentilesse de nous laisser . En attendant je vous souhaite pour vous et votre famille de passer  de joyeuses fêtes de Pâques. 
    En espérant que le temps sera pas trop mauvais ni trop froid pour chercher les oeufs dans le jardin!!
     
     

    Joyeuses Pâques !!!

     

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  •  La maladie de Cushing chez le chien 


    La Maladie de Cushing chez le chien !!

                             C'est encore moi pour vous donner des petits conseils !!!



    La maladie du Cushing est une maladie endocrinienne


    Le syndrome de Cushing est une maladie relativement répandue chez le chien, en particulier dans certaines races. Votre chien boit et urine beaucoup ? Son abdomen est distendu ? Son poil est clairsemé ? L'hypothèse d'un hypercorticisme ou syndorme de Cushing doit être envisagée.

    La maladie du Cushing ou syndrome de Cushing est une maladie endocrinienne (hormonale) due à une sécrétion importante et prolongée d'hormone (cortisol) issue des glandes surrénales (glandes situées au dessus reins).

    L'origine de cette maladie est dans 85% des cas liée à un dérèglement de l'hypophyse (petite glande située sous le cerveau) qui normalement contrôle, entre autres, le travail des surrénales. Dans 15% des cas, il s'agit d'une tumeur des surrénales qui peut être bénigne ou maligne.
    Les facteurs favorisant de la maladie de Cushing

    Le syndrome de Cushing spontané est une maladie des chiens âgés, plus de 10 ans en général.

    Il existe une très nette prédisposition raciale. Les races les plus atteintes sont les caniches, Yorkshires terriers et teckels. D'une manière plus générale, plus 75% des animaux atteints de maladie de Cushing pèsent moins de 20kg. Le boxer reste cependant une race prédisposée à certaines formes de Cushing.


    Les symptômes de la maladie de Cushing

    Les principaux symptômes de la maladie, alertant souvent les propriétaires, sont :
    une augmentation de la prise de boisson et de la quantité d'urines émises (on parle de polyuro-polydipsie)
    de la polyphagie (augmentation de la quantité de nourriture ingérée)
    une fonte musculaire
    une distension abdominale (ventre qui se relâche et pend)
    de la fatigabilité
    une perte de poils bilatérale, un amincissement et éventuellement une calcification de la peau (et quelquefois une hyperpigmentation)


    Le diagnostic de la maladie de Cushing

    Votre vétérinaire pourra suspecter la maladie si votre chien présente certains symptômes décrits ci-dessus.

    Le diagnostic est confirmé en réalisant des dosages sanguins du cortisol plasmatique, avant et après avoir fait une stimulation des surrénales à l'aide de l'hormone hypophysaire contrôlant ces glandes (l'ACTH).

    On peut aussi réaliser un test de freination de la production de cortisol, doser le cholestérol (qui augmente lors de syndrome de Cushing) et la glycémie (augmentation modérée) qui sont tous des paramètres à prendre en compte lorsque l'on suspecte cette affection.


    Le traitement de la maladie de Cushing

    Le traitement médical est le plus fréquemment utilisé. Désormais, il existe un médicament ayant une autorisation de mise sur le marché en France, et spécifiquement destiné aux chiens souffrant de syndrome de Cushing. Il s'agit du trilostane. La dose doit être ajustée en fonction de la réponse du chien, si bien que des bilans sanguins très réguliers, avec stimulation à l'ACTH, sont nécessaires en début de traitement. Une fois le chien stabilisé, les contrôles sanguins sont ensuite plus espacés.

    Avant l'arrivée du trilostane sur le marché la molécule utilisée était l'OP'DDD (utilisée en médecine humaine). C'est une molécule qui, comme le trilostane, détruit spécifiquement les cellules sécrétrices de cortisol parmi l'ensemble des cellules des glandes surrénales ; mais celle-ci ne pouvait être obtenue par tous les vétérinaires.

    Dans tous les cas, le traitement doit être effectué à vie, et le chien doit être régulièrement contrôlé, afin de voir si son Cushing est réduit et stabilisé.

    Le traitement chirurgical consiste, lorsqu'il existe une tumeur surrénalienne, à enlever la glande surrénale atteinte.
    En cas de Cushing hypohysaire, une hypophysectomie (retrait de l'hypophyse) et/ou une radiothérapie peuvent parfois être envisagées.

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  • Passer un scanner !!

    Passer un scanner

     

     
    Passer un scanner
    Votre médecin vous a prescrit un scanner et depuis, vous vous posez une multitude de questions. Comment cela fonctionne-t-il exactement ? Comment la séance va-t-elle se dérouler ? Quelles sont les contre-indications éventuelles ? Est-ce douloureux ? Aurais-je mes résultats tout de suite ? Trouvez ici quelques réponses à vos questions.
     
     
    C’est quoi un scanner et comment ça fonctionne ?
    Le scanner est une technique d’imagerie radiographique utilisant des rayons X. On parle de « scanner à rayons X » ou encore de « tomodensitométrie (TDM) ». Il permet d’obtenir des coupes très fines des organes examinés sous forme d’images numériques.
    Le principe est simple : Le scanner émet une quantité connue de rayons X, invisibles et capables de traverser le corps humain. Ces rayons sont alors plus ou moins absorbés par le corps selon qu’ils traversent un os, un organe,... La quantité de rayons absorbés permet alors de retranscrire les informations sous forme d’images en coupes de la zone étudiée.
    Ces images pourront être agrémentées de couleurs choisies arbitrairement pour faciliter leur interprétation.
    Cette technique est nettement plus précise qu’une simple radiographie mais présente l’inconvénient d’une exposition plus importante à des rayonnements. Des précautions particulières doivent donc être prises pour cet examen afin de contrôler la quantité de rayonnement reçue par l’organisme et de la limiter à la zone à examiner. C’est pourquoi le scanner a parfois tendance à être « concurrencé » par l'IRM, une technique non irradiante c’est-à-dire n’émettant aucun rayonnement ionisant néfaste pour l’organisme. Pourtant, ce sont bien deux techniques complémentaires.
     
    On distingue différents types de scanners :
    • Le scanner cérébral permettra de détecter une éventuelle hémorragie, malformation ou tumeur cérébrale,
    • Le scanner orbitaire renseignera sur les voies optiques (œil, nerf optique, muscles, glandes lacrymales),
    • Le scanner rachidien permettra d’explorer la colonne vertébrale, la moelle épinière et les nerfs associés,
    • Le scanner thoracique étudiera votre cœur ou vos poumons,
    • Le scanner abdominal permettra de visualiser le foie, les reins, le pancréas, la rate, le tube digestif ou encore la vessie,
    • Le scanner pelvien permettra quant à lui d’examiner le bassin et les organes comme la prostate, le vagin, l’utérus, les ovaires ou encore la paroi du rectum.
     
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    Comment la séance va-t-elle se dérouler ?
    En ce qui concerne les femmes enceintes, des précautions sont nécessaires en raison de l’effet nocif des rayons sur le fœtus (malformations, retard de développement cérébral,...). Vous devrez donc avertir l’équipe médicale d’une grossesse ou même d’une simple suspicion (retard de règles par exemple).
    Dans ce cas, vous pourrez éventuellement être réorientée vers une échographie ou une IRM (des techniques non irradiantes) ou, si cela est possible, l’examen sera reporté après la grossesse. Dans le cas contraire, des mesures de protection particulières seront prises (dosage adapté des rayons).
    Quoiqu’il en soit ne vous inquiétez pas, l’équipe médicale maîtrise parfaitement la technique et prendra toutes les précautions nécessaires.
    Une fois le jour J arrivé, il vous sera demandé d’être à jeun et de n’avoir ni bu, ni fumé dans les 4 à 6 heures précédant l’examen. Un membre de l’équipe médicale vous accueillera, vous indiquera quels vêtements ou bijoux enlever et vous donnera probablement une blouse à enfiler.
    Le plus souvent l’examen nécessitera l’utilisation d’un produit de contraste iodé permettant une meilleure visualisation des organes. Généralement, l’administration de ce produit de contraste sera réalisée par injection intraveineuse ou éventuellement par prise orale. Ne vous inquiétez pas, vous ne ressentirez aucun symptôme mis à part une sensation de chaleur lors de l’injection du produit (qui se dissipera avec le temps) ou encore un goût étrange dans la bouche. Ceci est tout à fait normal.
    En revanche, si :
    • vous avez déjà manifesté des réactions de type allergique comme de l’asthme, de l’eczéma, de l’urtucaire, une allergie à l’iode ou à un autre produit de contraste, 
    • vous êtes insuffisance rénale ou présentez une fragilité rénale (à cause d’un diabète par exemple),
    • vous êtes enceinte,
    l’injection du produit pourra être contre-indiquée ou nécessiter des mesures particulières (dosage sanguin de la créatinine pour analyser votre fonction rénale, arrêt de certains médicaments antidiabétiques ou encore dépistage d’un dysfonctionnement de la thyroïde chez le futur nouveau-né).
    Une fois le produit administré ou le cathéter posé (si nécessaire), vous serez allongé(e) sur une table d’examen mobile, le plus souvent sur le dos avec les bras au dessus de la tête ou bien le long du corps. L’examen pourra alors commencer et la table (sorte de lit coulissant sur lequel vous serez allongé(e)) se déplacera dans une sorte de couronne (l’émetteur/récepteur des rayons). Ne vous inquiétez pas, cet examen est totalement indolore. Vous entendrez en revanche un bruit pas forcément très agréable émis par la rotation de la couronne. Là encore, aucune raison de s’inquiéter, cela est tout à fait normal, détendez-vous.
    Il vous sera demandé de rester le plus immobile possible pour obtenir des images bien nettes. L’on pourra également vous demander d’arrêter de respirer ou d’avaler pendant quelques secondes, en fonction de la zone étudiée.
    Sachez également que l’équipe médicale située derrière la vitre, vous voit et vous entend pendant toute la durée de l’examen. Si quelque chose ne va pas il vous suffira de le dire : l’examen pourra être arrêté à tout moment.
    Les enfants ou les personnes anxieuses vis-à-vis de l’examen pourront être sédatées afin de les détendre et de les maintenir le plus immobile possible pendant le déroulement de l’examen.
    La durée du scanner n’excèdera pas 15 à 45 minutes en moyenne.
    Pour éliminer rapidement le produit de contraste et si votre santé le permet, il vous sera probablement conseillé de boire beaucoup d’eau.
     
    Aurais-je les résultats tout de suite ?
    Une fois l’examen terminé, vous pourrez éventuellement recueillir quelques informations mais le plus souvent, les images nécessiteront une analyse plus poussée avant de pouvoir établir les conclusions de l’examen. Les images et le compte-rendu de l’examen seront directement envoyés au médecin prescripteur qui vous expliquera les résultats les jours suivants.
     
     

     

     
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    Spaghetti à la bolognaise

     

     

     
     
     
    Vous pouvez remplacer les tomates cerises par du coulis de tomates ou des tomates pelées.
     
    Ingrédients :
    Pour la sauce
    Viande de veau hachée : 500 g
    Pour le reste de la recette
    Tomate(s) cerise(s) : 500 g
    Carotte(s) : 100 g
    Oignon(s) : 1 pc(s)
    Champignon(s) de Paris : 100 g
    Gousse(s) d'ail : 1 gousse(s)
    Laurier : 1 f
    Branche(s) de thym : 1 pc(s)
    Huile d'olive : 3 cl
    Moulin à poivre : 6 Tour(s)
    Sel fin : 6 Pincée(s)
    Spaghetti : 600 g
    Eau : 6 l
    Gros sel : 42 g
    Copeau(x) de Parmigiano Reggiano : 50 g
    Huile d'olive : 3 cl

    Préparation :
    Pour la sauce
    Éplucher l'oignon et la carotte, les couper en gros tronçons. Éplucher et dégermer l'ail, puis le couper en 2. Passer ensuite tous les légumes au hachoir.
    Équeuter les tomates et les tailler en 2 ou en 4 selon leur taille. Eplucher et tailler les champignons en petits dés.
    Dans une grande poêle ou dans une cocotte, verser un filet d'huile d'olive et saisir la viande hachée sans trop remuer pendant 1 à 2 min. Quand elle est colorée, ajouter alors les légumes hachés, saler et poivrer. Ajouter le thym et le laurier, puis laisser cuire 4 à 5 min. Ajouter ensuite les tomates, 1 verre d'eau et laisser cuire à feu doux pendant 25 min. rectifier l'assaisonnement.
    Pour les pâtes et le dressage
    Porter à ébullition l'eau avec le gros sel, puis ajouter les spaghetti et cuire le temps indiqué sur le paquet. Égoutter ensuite les pâtes, les passer sous un filet d'eau froide, ajouter un filet d'huile d'olive et mélanger.
    Servir les pâtes avec la sauce bolognaise et quelques copeaux de parmesan.
     
     
     

    Miam,Miam !!

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     Adieu  Petite Nuage !!!

     

    Toi qui a su rendre heureux  mes parents ainsi que Pat et moi-même par ta gentilesse et ta douceur de Toutoune .Quand Prisca était toute petite tu a su la guider  dans sa nouvelle vie elle te prenait pour sa maman.

    Tu nous a quitté en ce lundi 25 Mars pour aller rejoindre le paradis des toutous en laissant un grand vide derrière toi ce n'est pas de gaîté de coeur que je t'ai emmené chez le véto ou il  t'a fait ta piqûre pour que que tu nous souffres plus !Elle aurait eu 16 ans dans deux mois !!!

    Nous ne t'oublierons jamais comme tous ceux que nous avons eu chez  nous !!!

     

     

     

    Adieu  Petite Nuage !!!

     

    Adieu  Petite Nuage !!!

                            Nuage et sa cousine Prisca

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