•                                                      

                                                     Bonjour

      Me voilà de retour parmi vous  et mes passages seront réguliers.

     Hier au soir petits problèmes de passage sur certain blog,je passerais dans la journée !!!

     

    Problèmes de thyroïde : 

                                                                           

    Prise de poids, nervosité, fatigue, troubles de la mémoire… Ces signes peuvent révéler chez vous un problème d’hyper ou d’hypothyroïdie.

    En effet, la glande thyroïde produit des hormones nécessaires à tout l’organisme. Quels sont les symptômes de troubles de la thyroïde ? Quand s’inquiéter ? Medisite fait le point.

    Une fatigue persistante associée à des troubles du sommeil?

     La fatigue est le premier symptôme d’un problème de thyroïde. L’asthénie (épuisement général sans avoir fait d’effort) se rencontre dans 99 % des cas d’hypothyroïdie. Si vous êtes tout le temps fatigué sans aucun signe d’infection, si vous vous sentez léthargique et que vous avez de grosses difficultés à démarrer le matin, vous pouvez soupçonner une hypothyroïdie.

    La fatigue musculaire est aussi un signe d’hyperthyroïdie. Elle se couple à des troubles du sommeil de type insomnie car l’organisme est en suractivité.

    Rappel : L’hypothyroïdie se caractérise par un manque d’hormones thyroïdiennes dans le corps. Votre thyroïde fonctionne insuffisamment et l’organisme (organes, tissus, glandes…) se met à tourner au ralenti. Dans le cas de l’hyperthyroïdie, c’est l’inverse.

     

     

     

     

                                                                                    

    Des cheveux secs, cassants et une peau sèche ?

     Les premiers symptômes de troubles thyroïdiens sont ceux qui modifient l’apparence physique. En cas d’hypo ou d’hyperthyroïdie, les cheveux deviennent cassants et secs et commencent à tomber.

    Dans 97 % des cas d’hypothyroïdie, la peau est sèche, jaunit voire devient grisâtre.

    Le visage gonfle surtout autour des yeux et du menton (55 % des cas) et les traits s’épaississent. Des rides prématurées peuvent apparaitre, accompagnées parfois d’autres troubles cutanés (eczéma, acné…). Ceci est "le résultat de l’accumulation des graisses et des déchets non éliminés dans les tissus suite à une baisse d’hormones thyroïdiennes dans le corps", explique le Dr Willem.

    On peut également parfois remarquer l’apparition d’un goitre (gonflement à la base du cou).

    Une personne atteinte d’hypothyroïdie voit également ses ongles se strier, devenir mous puis se casser et ses sourcils se raréfier.

     

     

     

     

                                                                                         

    Une frilosité ou une transpiration excessive ?

     Les modifications de la température corporelle font partie des signes les plus courants d’un problème de thyroïde. Dans 90 % des cas d'hypothyroïdies, on constate une frilosité chez le patient.

    Les personnes en hypothyroïdie présentent aussi une température légèrement plus basse qu’à l’habitude et les extrémités (nez, doigts, orteils) sont froides". En dessous de 36,1°, il y a de fortes chances que vous soyez en hypothyroïdie. Si votre température est plus élevée, c’est peut-être une hyperthyroïdie ou une légère infection", explique le Dr Willem.

    En cas d’hyperthyroïdie, la peau a tendance à devenir chaude, on transpire au moindre effort et on a les mains moites.

     

     

     

     

     

     

                                                                                      

    Une dépression qui persiste sans raison ?

    Les troubles de la thyroïde peuvent aussi affecter le système nerveux. En cas d’hypothyroïdie, vous vous sentez dépressif, irritable, nerveux, très instable émotionnellement, vous pleurez sans raison….

    "Si ces symptômes surviennent deux fois dans l’année ce n’est pas la thyroïde. Mais si ça revient assez souvent sans causes psychologiques et que vous présentez trois ou quatre autres symptômes typiques d’un problème de thyroïde, vous devriez consulter. Un dosage sanguin (TSH, T3, T4) sera nécessaire pour vérifier si votre thyroïde fonctionne correctement", conseille le Dr Willem.

    Une carence en T3 (hormones thyroïdiennes) compromet la stabilité émotionnelle et peut déboucher sur une dépression. Mais attention, dans ce cas, il faut éviter de prendre certains antidépresseurs contenant du fluor, comme le Prozac®, car ils aggravent la dépression. En effet, le fluor inhibe la fonction thyroïdienne déjà diminuée.

    En cas d’hyperthyroïdie, on devient anxieux, on a des sautes d’humeur, et ce dérèglement hormonal peut déboucher sur une dépression. La nervosité accompagnée d’angoisse et d’irritabilité survient dans 61 % des hypothyroïdies dues à une Basedow et 35 % des hypothyroïdies dues à des nodules toxiques.

     

     

                                                                              

    Une forte prise de poids malgré un appétit d’oiseau ?

     Les personnes atteintes d’une hyperthyroïdie perdent du poids dans 79 % des cas quand elle est due à une Basedow et 55 % des cas d'hyperthyroïdie due à un nodule ou goitre toxique. Cet amaigrissement est d’autant plus paradoxal que les patients mangent davantage qu’à leur habitude ! Le poids baisse souvent de plusieurs kilos en une seule semaine.

    En cas d’hypothyroïdie, c’est le phénomène inverse qui se produit, avec une prise de poids dans 60% des cas, et ce, malgré un petit appétit. On observe également parfois une hypoglycémie car le foie se dérègle, et de la rétention d’eau due au ralentissement du métabolisme.

    L’hypothyroïdie peut avoir plusieurs causes : l’ablation de la thyroïde bien entendu mais aussi une carence en iode, une maladie auto-immune ou des fluctuations des niveaux des hormones (grossesse, ménopause…). Elle peut être aussi faire partie des effets secondaires de certains médicaments comme le lithium, les bêta-bloquants, l'interféron, les antihistaminiques…

     

     

                                                            bon mardi

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  •                                                       Bonjour

     

     

              Huile d'olive pour la peau

     
    Huile d'olive pour la peau

                 
              

    Huile d'olive pour la peau : Indications

    Recommandé pour les personnes qui se lavent souvent les mains. Idéal en hiver pour prévenir la peau sèche

     

    Huile d'olive pour la peau : Ingrédients

    Huile d'olive pour la peau : Préparation

    Utiliser tel quel, sous forme d'huile.

    Huile d'olive pour la peau : Posologie

    Appliquer l'huile d'olive sur les mains et si vous le voulez jusqu'au coude.
    Laisser l'huile d'olive sur la peau pendant 10 à 15 minutes. Laver au savon. Appliquer ensuite une crème odorante pour maintenir l'humidité de la peau.
    L'huile d'amande est aussi efficace contre la peau sèche.

     

     

     

                                               

     

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  • bienvenus

    7 conseils pour prévenir la DMLA

     

     

     

                                                             

     

    La DMLA (Dégénérescence maculaire liée à l'âge) est en augmentation. Comment la prévenir ? Quels sont les facteurs de risque ?

     

     

     

     

                                                                                  

    DMLA : surveillez votre poids et vos artères !

    "La surcharge pondérale fait partie des principaux facteurs de risque de la DMLA. En particulier parce qu'hypertention et cholestérol vont souvent de pair avec la surcharge pondérale, et qu'il est important de surveiller ses artères pour prévenir la DMLA", explique le Dr Eric Souied, ophtalmologue.

    Que faire ? Surveillez votre alimentation, pour le bien de vos artères ! Evitez les aliments trop riches en sucres et en graisses, mangez des fruits et légumes en quantité, et surtout privilégiez une alimentation variée et équilibrée.

    Maintenez une activité physique régulière. Préférez les escaliers à l'ascenseur. A noter que marcher une trentaine de minute par jour est un moyen facile de maintenir votre corps en bonne forme.

    Vous cherchez à perdre du poids ? Lisez notre article 10 méthodes inhabituelles mais efficaces pour maigrir.

     

     

      

                                                                                    

    Les vitamines et minéraux contre la DMLA

    Les micronutriments antioxydants réduiraient de 25% le risque de DMLA !

    "Depuis 5 ans, la recherche médicale a fait des avancées considérables dans la compréhension, la thérapie et le dépistage de la DMLA", explique le Dr Eric Souied, médecin ophtalmologue. "On a notamment découvert l'effet très puissant des micronutriments antioxydants que sont les vitamines E, C et le zinc pour prévenir la DMLA".
    En effet, les antioxydants empêchent les radicaux libres d'accélérer le vieillissement des cellules, et protègent les cellules de la rétine.

    Que faire ? "Il est inutile de se supplémenter en prévention. Un médecin peut prescrire une supplémentation uniquement dans le cas où la maladie est présente sur un œil et que l'on veut réduire les risques qu'elle apparaisse sur le second. Mais dans la vie de tous les jours, les aliments riches en vitamine E, C et en zinc sont suffisants".

    Les aliments à favoriser :
    - Vitamine C : agrumes, kiwis, fruits rouges, poivrons, choux, brocolis...
    - Vitamine E : huiles végétales, fruits secs et oléagineux (amandes, noix...) épinards, persil, fenouil, avocats...
    - Zinc : poissons, viandes, céréales.

     

     

     

                                                                                  

    DMLA : le facteur héréditaire

    "L'hérédité compte dans plus de 50% des cas de DMLA, d'après le Dr Eric Souied, médecin ophtalmologue.

    "Plus significatif encore, on estime que les marqueurs génétiques sont présents dans 80% des cas de DMLA ! Mais ils ne se manifestent pas toujours, et les facteurs environnementaux jouent aussi un rôle dans l'apparition et la gravité de la maladie".

    "La génétique, dans la DMLA, est au coeur des recherches scientifiques actuelles", ajoute-t-il. "Etablir un profil génétique pourrait, à terme, permettre de prévenir la maladie de façon précoce et ainsi d'offrir un traitement adapté à chaque patient".

    Que faire lorsque l'on a des antécédents familiaux ? Lorsqu'il y a des antécédents de DMLA dans la famille, il faut être particulièrement attentif car le risque est multiplié par 4 ! Il est donc important de faire un dépistage dès l'âge de 55 ans puis tous les 3 ans.

     

     

     

                                                                                  

    DMLA : mangez du poisson !

    Les omégas 3 sont vos alliés anti-DMLA !

    Comme l'explique le Dr Eric Souied, médecin ophtalmologue, on a observé qu'il y avait moins de cas de DMLA chez les personnes qui consommaient beaucoup de poisson. C'est en particulier l'acide docosahexaènoïque (DHA), sous-groupe des omégas 3, qui a été identifié comme ayant un effet protecteur.
    On connait encore mal l'action exacte des omégas 3. Cependant, on sait qu'ils aident au bon fonctionnement des cellules de la rétine sensibles à la lumière. Ces cellules, appelées les photorécepteurs, sont directement impliquées dans l'apparition de la dégénérescence maculaire.

    Que faire ? Mangez du poisson 3 à 4 fois par semaine, dans le cadre d'une alimentation équilibrée. Préférez les poissons gras comme le saumon, le thon, le maquereau et le hareng, qui sont particulièrement riches en DHA. Vous trouverez aussi des omégas 3 dans les noix, le soja et les germes de blés.

     

                                                                                          

    DMLA : misez sur les caroténoïdes !

    Lutéine et zéaxanthine, deux nutriments qui protègent votre macula !

    "Ce sont les deux micro-nutriments les plus efficaces contre la DMLA", explique le Dr Eric Souied, médecin ophtalmologue. La lutéine et la zéaxanthine sont deux nutriments de la famille des caroténoïdes. Plus précisément, ce sont des pigments verts et jaunes qui donnent leur couleur aux choux, aux épinards ou encore aux brocolis.

    "On a observé que chez les gens ayant un régime riche en caroténoïdes, l'incidence de la DMLA était réduite de moitié", ajoute le Dr Souied.

    Ces deux pigments ont un effet protecteur sur notre macula et ne sont pas synthétisés par notre organisme ! Il est donc indispensable de leur laisser une place dans notre alimentation.

    Que faut-il manger : choux, brocolis, navets, épinards, céleri, carottes... Tous sont chargés en caroténoïdes ! Crus ou cuits, faites-vous plaisir et souvenez-vous : 5 fruits et légumes par jour.

     

     

     

                                                                                        

    DMLA : aucun lien avec la fatigue visuelle

    Faut-il soigner sa vue pour prévenir la DMLA ?
    "La DMLA n'a pas de lien avec la fatigue visuelle", explique le Dr Eric Souied, médecin ophtalmologue. Travailler sur l'ordinateur, ne pas porter des lunettes quand on devrait, s'exposer à la lumière de façon excessive ou répétée... Toutes ces gestes n'ont pas d'influence sur l'apparition de la DMLA.

    Prendre soin de votre vue et avoir des lunettes adaptées reste important, pour la simple raison que votre vue est importante, mais cela n'influera en rien sur la dégénérescence maculaire.

     

     

                                                                                

    Peut on freiner les progrès de maladie ?

    "La recherche a fait des progrès considérables au cours des 5 dernières années", explique le Dr Eric Souied, médecin ophtalmologue. "Aujourd'hui, on sait ralentir l'évolution de la DMLA".

    Pour freiner l'évolution de la DMLA, les médecins ophtalmologues utilisent le plus souvent des compléments alimentaires. Dans ces compléments, on trouve les caroténoïdes protecteurs de la macula, la lutéine et la zéaxanthine, des omégas 3 et des vitamines et minéraux antioxydants (Vitamine C, E et zinc).

    L'utilisation de ces compléments peut parfois permettre de ralentir l'évolution de la maladie sur les deux yeux. Lorsqu'un œil est atteint, le second a 50% de chances de l'être. Cependant, les compléments alimentaires ne sont pas anodins, ne vous supplémentez pas sans consulter votre médecin.

    La recherche continue pour trouver un traitement capable de soigner la DMLA. Récemment, des chercheurs américains ont découvert une enzyme qui évite la destruction des cellules rétiniennes et donc la perte de vision centrale, typique de la DMLA .

     

     

                                                                         !

    DMLA : importance du dépistage

    Dès l'âge de 55 ans, les signes précurseurs de la DMLA peuvent être détectés.

    Lors d'un examen du fond de l'oeil, votre ophtalmologue est capable d'observer les signes avant coureurs bien en amont du processus de dégénérescence et des premiers signes d'alarme comme la gêne visuelle, ou le sentiment d'un manque d'éclairage...

    Si l'on ne sait pas guérir la DMLA, on sait aujourd'hui ralentir son évolution : c'est pourquoi il est nécessaire de se faire dépister.

    Que faire ? Tournez-vous vers votre ophtalmologue ! Du 27 juin au 1er juillet 2011 ont lieu les 5èmes Journées nationales d'information et de dépistage de la DMLA : une semaine pendant laquelle vous pouvez prendre rendez-vous pour un dépistage gratuit ! Si votre ophtalmologue n'y participe pas, consultez la liste des ophtalmologues participants.

     

     

    bonne semaine

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  • Hello...

     

     

    Hamamélis

    Hamamélis : Nom latin

    Hamamélis virginiana

    Hamamélis : Nom(s) vulgaire(s)

    hamamélis de Virginie, noisetier des sorcières

    Hamamélis : Famille

    Hamamélidacées

    Hamamélis : Période de récolte

    A récolter au cours de l'été, avant le brunissement des feuilles

    Hamamélis : Propriétés

    Grâce aux flavonoïdes et aux tanins qu’il contient, l’hamamélis augmente la résistance des veines et diminue la perméabilité des vaisseaux (contre les œdèmes, les jambes lourdes). Il prévient aussi les varicosités disgracieuses et est efficace contre l’herpès labial et l’eczéma.

    Hamamélis : Etudes scientifiques

    Inconnues.

    Hamamélis : Histoire

    L’hamamélis est originaire de Virginie. Les Indiens d’Amérique du Nord lui attribuaient des pouvoirs magiques. Ses feuilles ressemblant à celles du noisetier, ces derniers l’ont surnommé "noisetier des sorcières". Elle a été introduite en Europe au XVIIIe siècle.

    Hamamélis : Comment la reconnaître?

    L’hamamélis est un arbuste pouvant atteindre 5 mètres de haut. Ses branches sont ramifiées et portent des feuilles ovales, asymétriques à la base, sinuées et dentées sur les bords des limbes (parties les plus larges de la feuille). Les fleurs sont jaunâtres et groupées en bouquets. Les fruits sont des petites capsules.

    Hamamélis : Parties utilisées

    La feuille.

    Hamamélis : Posologie

    En usage interne
    Contre l’insuffisance veineuse, les hémorroïdes
    Infusion : 10 g pour un litre d’eau. Laisser infuser 5 à 10 min. Filtrer. 1 à 2 tasses par jour pendant 6 à 12 mois.

    Ou
    Gélules dosées à 290 mg de poudre : 1 ou 2 matin, midi, et soir, pendant 6 à 12 mois.
    Ou
    Extrait sec : 1 sachet-dose par jour dans un verre d’eau.
    Ou
    Extrait fluide : 2 à 6 g par jour dans un verre d’eau.
    Ou
    Teinture-mère : 50 à 100 gouttes par jour dans un verre d’eau.

    Pour l’hygiène buccale
    Infusion : 10 g pour un litre d’eau bouillante. Laisser infuser 5 à 10 min. Se rincer la bouche, puis avaler. 1 à 2 tasses par jour.

    En usage externe
    Contre l’insuffisance veineuse, hémorroïdes
    Gel ou pommade : en massage léger, 1 fois par jour.

    En cas de persistance des symptômes consultez un médecin.

    Hamamélis : Précautions d'emploi

    La plante n’a pas présenté à ce jour d’effet toxique, mais elle peut provoquer des allergies de contact. Elle reste cependant contre-indiquée chez l’enfant de moins de 6 ans et la femme enceinte ou allaitante.


    Attention : Les plantes ne sont pas des remèdes anodins. Ne jamais dépasser les doses indiquées.


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  • Hello...

                                   Angélique

     
    Angélique
     
    Angélique : Nom latin
    Angelica archangelica

    Angélique : Nom(s) vulgaire(s)

    Herbe aux anges, angélique vraie, archangélique, angélique officinale, angélique des jardins.

    Angélique : Famille

    Apiacées

    Angélique : Période de récolte

    Lorsque la plante a 1 à 2 ans. Juillet, août.

    Angélique : Propriétés

    L'archangélicine contenue dans la plante est anticonvulsivante, relaxante sur les muscles et sédative. Même si aucune étude n'a été menée sur le sujet, l'angélique est considérée comme antispasmodique car elle agit contre les spasmes intestinaux. Son extrait hydroalcoolique est antibactérien.

    Angélique : Etudes scientifiques

    Inconnues.

    Angélique : Histoire

    L'angélique provient des régions tempérées d'Asie et d'Europe. Ses vertus médicinales ont longtemps été ignorées. Au XIIe siècle, on pensait que l'angélique prémunissait de la peste. Plus tard, au début du XXe siècle, le botaniste Leclerc la préconisait contre l'anorexie. L'angélique doit son nom à la forme de son fruit qui comporte de petites ailes, qu'on dit semblables à celles des anges.

    Angélique : Comment la reconnaître?

    Cette plante herbacée peut mesurer 2 mètres de haut. Sa tige est cannelée, violette et ses feuilles sont grandes et dentées. Elle donne de petites fleurs jaunes en ombelles et des fruits ovales et brun.

    Angélique : Parties utilisées

    La racine.

    Angélique : Posologie

    En usage interne
    Contre les troubles digestifs banals, les douleurs et spasmes intestinaux.
    Gélules dosées à 325 mg de poudre : 1 matin, midi et soir, au moment des repas.
    Ou
    Infusion : un sachet-dose dans une tasse d'eau bouillante. Laisser infuser 10 minutes Boire une tasse à la fin des principaux repas.
    Ou
    Solution buvable : 1 cuillère à café dans un demi-verre d'eau avant les principaux repas et dès l'apparition des troubles digestifs.
    En cas de persistance des symptômes, consultez un médecin.

    Angélique : Précautions d'emploi

    L'angélique présente un risque de photodermite (réaction allergique de la peau au soleil). Les personnes hypersensibles à la lumière ne doivent pas s'exposer longuement au soleil durant le traitement.


    Attention : Les plantes ne sont pas des remèdes anodins. Ne jamais dépasser les doses indiquées

     

      bonne journée

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