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                                   L'anis vert ....

     

     

    Anis vert


    Anis vert : Nom latin

    Pimpinella anisum

    Anis vert : Nom(s) vulgaire(s)

    Anis cultivé

    Anis vert : Famille

    Apiacées

    Anis vert : Propriétés

    L’anis vert est reconnu pour ses vertus antispasmodiques et carminatives (il facilite l’expulsion des gaz intestinaux). Il est efficace dans le traitement de troubles digestifs divers tels que ballonnements, éructations, flatulences… L’anis vert est aussi réputé pour faciliter l’expectoration en cas de toux. Enfin, il favorise la montée de lait chez les femmes qui viennent d’accoucher.

    Anis vert : Histoire

    Pythagore (né vers 580 et mort vers 490 av. J.-C.) attribuait à l’anis vert des vertus surnaturelles, tandis qu’Hippocrate (né vers 460 et mort vers 370 av. J.-C.) le recommandait contre la toux et les aigreurs d’estomac. La plante a longtemps été considérée à tort comme aphrodisiaque…

    Anis vert : Comment la reconnaître?

    L’anis vert est une plante annuelle herbacée originaire du Moyen-Orient cultivée sur le pourtour méditerranéen. Les tiges dressées portent des feuilles intérieures rondes et entières, et des feuilles supérieures très découpées, terminées en pointe. Les fleurs blanches sont suivies de petits fruits gris verdâtres au parfum agréable et à la saveur sucrée.

    Anis vert : Parties utilisées

    Les fruits.

    Anis vert : Posologie

    En usage interne
    Contre la digestion lente (ballonnements, gaz…) et la toux
    Infusion : 1 sachet dose dans 20 cl d’eau bouillante. Laisser infuser 5 min. 1 tasse après chacun des principaux repas.
    Ou
    Huile essentielle (HE) : sur prescription médicale

    En cas de persistance des symptômes, consultez un médecin.

    Anis vert : Précautions d'emploi

    L’anis vert ne présenterait aucune toxicité à ce jour. En revanche, il ne faut jamais l’ingérer sous forme d’huile essentielle (HE) pure sans prescription médicale (risque toxique). La plante est contre-indiquée chez l’enfant de moins de 6 ans et chez la femme enceinte ou allaitante. Elle est aussi déconseillée aux personnes allergiques à l’anéthol.



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      Les vertus extraordinaire du citron       
                     

    Riche en vitamine C, en acide citrique, en flavonoïdes, le citron est l’allié de votre santé ! Il déstocke les graisses, limite la rétention d’eau, améliore la digestion, combat le rhume et permet même d’assainir sa maison.

     

     

     

                                                    

    Du citron pour déstocker les graisses ?

    Besoin de brûler quelques calories ? Pensez au citron. Selon le Dr Danièle Festy, pharmacienne et auteur de Ma Bible des huiles essentielles (Leduc.s), il peut devenir votre allié. Que faire : La recette du Dr Danièle Festy : "Versez une goutte de citron jaune sur un comprimé neutre et laissez fondre en bouche 3 fois par jour en cure de 3 semaines." Attention : utilisez bien un comprimé neutre, spécifique aux huiles essentielles et disponible en pharmacie, et non un comprimé de médicament. Pourquoi ça marche : Le citron aide au déstockage des graisses et lutte contre la rétention hydrolipidique, selon le Dr Danièle Festy. En plus : Pour aider l’organisme à déstocker les graisses, rien ne vaut un peu d’exercice physique.

     

     

     

     

                                          

    De citron pour un teint éclatant

    L’essence de citron peut raviver les teints ternes pour révéler une peau plus éclatante. Que faire : La recette du Dr Danièle Festy, pharmacienne et auteur de Ma Bible des huiles essentielles (Leduc.s) : mélangez 1 ml d’essence de citron, 1 ml d’huile essentielle de géranium rosat et 13 ml d’huile végétale d’argan. "Appliquez quelques gouttes de ce mélange matin et soir en tapotant vos joues." Pourquoi ça marche : L’essence de citron donne un teint "plus frais, lumineux et éclatant" et est "anticouperose", selon le Dr Danièle Festy. En plus : Pensez aux gommages doux, si votre peau les supporte. Attention : Contre-indiqué en cas d’exposition solaire.

     

     

     

                                                

    Contre la rétention d’eau : l’essence de citron

    L’essence de citron favorise l’élimination du liquide emprisonné dans les tissus à cause de la rétention d’eau et aide à retrouver une peau plus ferme et plus lisse. Que faire : La recette du Dr Danièle Festy, pharmacienne et auteur de Ma Bible des huiles essentielles (Leduc.s) : posez une goutte d’huile essentielle de citron sur un comprimé neutre, spécial huiles essentielles et disponible en pharmacie. N’utilisez pas de comprimé de médicament. Laissez fondre en bouche trois fois par jour. Pourquoi ça marche : L’essence de citron est diurétique, anti rétention et elle favorise la circulation, selon Danièle Festy. En plus : Gare aux excès de sel (plats préparés, charcuteries). Attention : Demandez l’avis de votre médecin ou pharmacien.

     

     

                                                           

    Du citron pour la digestion

    Vous souffrez de digestion lente, de maux d’estomac, de remontées acides ? Place au citron. Que faire : La recette du Dr Danièle Festy, pharmacienne et auteur de Ma Bible des huiles essentielles (Leduc.s) : mélangez une goutte d’essence de citron, une goutte d’huile essentielle d’estragon et une goutte d’huile essentielle de menthe poivrée. Posez vos trois gouttes sur un demi sucre, que vous laissez fondre en bouche avant ou après les repas, pendant 8 à 10 jours. Pourquoi ça marche : L’huile essentielle de citron "nettoie le foie et aide à purifier le système digestif", selon le Dr Danièle Festy. Attention : Contre-indiqué en cas de grossesse, d’allaitement, toxique pour les bébés et éventuellement les personnes âgées.

     

     

     

                                                                            

    Des vertus anti âge

    Avec l’âge, la peau se dessèche, elle devient plus fine et les rides sont plus prononcées. Mais le jus de citron pourrait aider à ralentir ce genre de désagréments. Que faire : Selon les médecins phytothérapeutes Bérengère Arnal, Paul Goetz et Michel Paris, auteurs de Phytothérapie (Vidal), ajouter du jus de citron dans son alimentation permet d’atténuer les effets du vieillissement cutané. Pourquoi ça marche : Le citron contient de nombreux flavonoïdes, de puissants antioxydants qui réduisent les effets des radicaux libres. En plus : Buvez au moins 1,5 l d’eau par jour et évitez les expositions prolongées au soleil.

     

     

     

                                                                   

    Infusion de citron contre les maux de gorge

    Toux, douleurs dans la gorge : pensez au citron. Une simple infusion peut calmer vos maux. Que faire : La recette du Dr Dominique-Jean Sayous, médecin homéopathe et auteur de Se soigner (Eyrolles) : "Pressez le jus d’un citron, faites infuser dans de l’eau chaude et additionnez de miel. A boire avant le coucher." Pourquoi ça marche : "Riche en acide citrique et en vitamine C, le citron possède des propriétés anti-inflammatoires et anti-infectieuses", selon le Dr Dominique-Jean Sayous. En plus : La toux peut être un symptôme de nombreuses maladies, comme la laryngite, le rhume, l’asthme ou la bronchite. Si vos maux de gorge persistent, consultez un médecin.

     

                                                                      

    En bain de bouche contre les aphtes

    Le citron est utile pour soigner la sphère oto-rhino-laryngologique et notamment contre les aphtes, ces petites ulcérations de la bouche. Que faire : La recette de Theresa Cheung, auteur du Régime citron (Leduc.s) : "Mélangez le jus d’un citron fraîchement pressé à un verre d’eau tiède et rincez-vous la bouche trois fois par jour avec cette solution." Pourquoi ça marche : Les propriétés du citron "favorisent la guérison des aphtes", selon Theresa Cheung. En plus : Le citron peut piquer au contact de l’aphte mais la sensation devrait s’atténuer au fur et à mesure du traitement.

     

     

     

                                                                        

    Bain de bouche citronné anti rhume

    Nez bouché, démangeaisons, éternuements : si vous souffrez d’un rhume, le citron peut soulager. Que faire : La recette des médecins phytothérapeutes Bérengère Arnal, Paul Goetz et Michel Paris, auteurs de Phytothérapie (Vidal) : mélangez 2 cl de jus de citron dans 2 cl d’eau chaude. Gargarisez-vous avec cette solution 3 ou 4 fois par jour. Pourquoi ça marche : Le citron possède des vertus "antiallergiques" et "anti inflammatoires", selon les médecins phytothérapeutes. En plus : Buvez beaucoup pour maintenir l’hydratation des muqueuses, augmentez vos apports en vitamine C, encore grâce au citron. Si les symptômes persistent, consultez un médecin.

     

     

     

                                                            

    Infusion de citron après la fièvre

    Après un accès de fièvre, on est souvent fatigué. Le citron peut redonner du tonus. Que faire : La recette de nos médecins phytothérapeutes : mélangez 15 g de zeste de citron, 15 g de zeste d’orange, 10 g de girofle et 30 g d’écorce de cannelle. Laissez infuser une demi cuillère à soupe du mélange pour 20 cl d’eau bouillante, pendant 15 min. Deux fois par jour. Pourquoi ça marche : Le citron possède des propriétés "anti inflammatoires", selon les médecins phytothérapeutes. Sa richesse en vitamine C en fait également une source de vitalité. En plus : Buvez beaucoup d’eau pour compenser la transpiration due à la fièvre. Si la fièvre dure plus de 12 h ou si elle monte brutalement, vous devez consulter un médecin.

     

     

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    JE REPONDRAIS A VOS COMS CET APRES-MIDI  MERCI A VOUS!!!

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  •                                                                 
    bonjour
           genetique 

    Cancer de la prostate : prédisposition génétique !

    Le cancer de la prostate est le premier cancer masculin en France.
    Y a t-il une prédisposition génétique au cancer de la prostate ?
    Sûrement ! On remarque qu'il s'agit d'un cancer familial dans environ 5% des cas. "On ne connaît pas exactement le ou les gènes concernés", précise le Dr Olivier Caron, onco-généticien. Par ailleurs, certaines prédispositions au cancer du sein, lorsqu’elles sont portées par des hommes, augmentent légèrement leur risque de cancer de la prostate. Il est donc conseillé aux personnes qui ont des antécédents de cancer de la prostate chez un père ou un frère, de faire des dépistages réguliers dès 40 ans.

    Les autres facteurs de risque du cancer de la prostate :
    Les facteurs de risques environnementaux du cancer de la prostate sont encore mal connus. Toutefois, la consommation accrue de viande rouge et de charcuterie a été mise en cause par une étude américaine de 2002 (1). Les hommes qui consomment plus de viande rouge et de charcuterie auraient deux fois plus de risques de cancer de la prostate que ceux qui en consomment moins.
    Le surpoids et certains traitements à base d'hormones masculines pourraient également être impliqués de la survenue de ce cancer.

     

                                                             genetique 

    Cancer du sein : gare aux antécédents familiaux !

    Le cancer du sein est le plus fréquent de tous les cancers en France. Il touche, même dans de très rares cas... les hommes.
    Y a t-il une prédisposition génétique au cancer du sein ? Oui, même si elle concerne peu de cas (environ 5%). Toutefois, les femmes qui possèdent une ou plusieurs parentes touchées par une tumeur mammaire présentent plus de risques.
    "Il existe 2 gènes qui, lorsqu'ils sont porteurs d'anomalies, augmentent le risque de cancer du sein. Ces anomalies peuvent se transmettre par le père ou la mère", indique le Dr Olivier Caron, onco-généticien. Cette prédisposition génétique peut être détectée par un test sanguin. Si vous portez un de ces gènes mutants, cela ne veut pas dire que vous allez forcément développer un cancer du sein, mais que vous avez 70% de risques de le faire.
    Les porteuses de telles anomalies se voient proposer une prise en charge de surveillance particulière.

    Les autres facteurs de risques de cancer du sein :
    "Ceux qui sont le plus clairement établis sont principalement liés aux hormones, comme le surpoids ou la prise de Traitements Hormonaux substitutifs de la ménopause (THS-THM)", indique le Dr Olivier Caron, onco-généticien. A noter : Contrairement aux idées reçues, avoir de gros ou petits seins n'est pas un facteur de risque.

     

     

     

                                                 genetique 

    Cancer de l'ovaire : important risque génétique !

    Y a t-il une prédisposition génétique au cancer de l'ovaire ? Oui, c'est même le cancer pour lequel elle concernerait le plus de cas. Dans 15% des cas environ, la personne touchée possède une parente également touchée. C'est le taux le plus élevé de tous les cancers solides (touchant un organe). Deux sources sont connues :
    - La mutation de deux gènes (les mêmes que pour le cancer du sein), qui provoquent ce cancer dans 20 à 30% des cas si l'on possède cette prédisposition.
    - Le syndrome de Lynch, une maladie héréditaire qui peut provoquer un cancer de l'ovaire dans certains cas.

    Les autres facteurs de risques du cancer de l'ovaire

    Ils sont quasiment inconnus. Les traitements hormonaux substitutifs de la ménopause (THS-THM) seraient en cause, mais ils n'augmenteraient le risque que très légèrement. La pilule contraceptive serait protectrice.

     

     

     

     

                                                  genetique 

    Col de l'utérus : féminin, mais pas génétique !

    Y a t-il une prédisposition génétique au cancer du col de l'utérus? Même si c'est un cancer féminin, comme le cancer du sein, le cancer du col de l'utérus n'est pas un cancer "familial", il n'a pas de marqueur génétique connu !
    Attention : ne pas le confondre le cancer du col avec le cancer du corps de l'utérus (de l'endomètre) qui, lui, peut être génétique.

    Les autres facteurs de risques du cancer du col de l'utérus : L'infection par un virus (virus du papillome) transmis par un rapport sexuel peut être à l'origine du cancer du col de l'utérus. Un vaccin, destiné aux jeunes filles, existe pour s'en prémunir. Mais contrairement aux idées reçues, ce germe n'est pas la seule cause de ce cancer ! Le tabac est un autre facteur de risque majeur connu.

     

                                                             genetique 

    Cancer du poumon : et si c'était aussi génétique ?

    Y a t-il une prédisposition génétique au cancer du poumon ? La réponse pourrait être : peut-être ! Aucun gène n'est identifié à ce jour comme responsable du cancer du poumon. "Toutefois, de rares cas de cancers du poumon familiaux, alors que les personnes malades ne sont pas fumeuses, font penser qu'il pourrait y avoir un facteur génétique", explique le Dr Olivier Caron, onco-généticien.

    Les autres facteurs de risque du cancer du poumon :
    La cigarette est la grande responsable, bien sûr ! On estime que 85 à 90% des cancers du poumon sont provoqués par le tabagisme. Les femmes fumeuses étant de plus en plus nombreuses, ce cancer pourrait toucher davantage de femmes que d'hommes en France d'ici 2020.

     

     

                                                             genetique 

    Cancer du pancréas : quelle part d'hérédité ?

    Y a t-il une prédisposition génétique au cancer du pancréas ? Environ 5% des cancers du pancréas sont "familiaux", ce qui laisse penser qu'un gène prédisposant pourrait exister. Davantage de recherches sont toutefois nécessaires pour l'identifier. "A ce jour, on sait simplement qu'une maladie génétique rare, la pancréatite chronique héréditaire se transforme en cancer", indique le Dr Olivier Caron, onco-généticien.

    Les autres facteurs de risques de cancer du pancréas : Le tabac est le seul facteur de risque identifié clairement à ce jour.

     

     

      bonne journée

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        C'est tout de même pas normal ce qui arrive à cette personne de ne pas subir son intervention chirurgicale faute qu'il n'y avait pas de salle d'opération.Il faudrait que nos hommes politiques fassent quelque chose au niveau des soins.

     

     

    Greffe de reins ratée faute de salle d'opération

     

    Un septuagénaire originaire de la Manche n’a pas pu subir une greffe de rein car le CHU de Caen n’avait pas de salle d’opération libre !

    Un homme de 75 ans sous dialyse depuis sept mois est appelé lundi soir par l’hôpital de Caen car un rein compatible l’attend en vue d’une greffe. Dès 8 h le lendemain matin, il se présente à l’accueil et subit toute une batterie de tests préalables à l’opération : analyses de sang, d’urine, électrocardiogramme...

    Mais, "à 10h, le coordinateur de la transplantation d’organes en Basse-Normandie lui annonce que l’intervention n’aura pas lieu : aucune salle d’opération n’était disponible", rapporte Ouest-France.
    Le retraité, furieux, est contraint de rentrer chez lui et le greffon est réattribué à un patient d’un autre CHU.

    La direction de l’hôpital de Caen souligne que cette situation est due à "une activité exceptionnelle et ininterrompue" des blocs opératoires depuis le début du week-end et que la greffe chez ce patient "ne relevait pas d’une urgence"…

         

     

     

    Allez faire un tour sur le blog de Sam fils de Qing... Merci à tous!!!

     

    http://chineinconnue.over-blog.com

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  • bienvenue

     

    Ostéoporose

                                                          !

     

    Notre capital osseux est constitué à la fin de l'adolescence, mais il faut veiller sur lui et le conserver le mieux possible tout au long de notre vie pour éviter l'ostéoporose. !

     

     méfiez-vous des médicaments

    "Le plus à risque est la cortisone qui perturbe l'assimilation du calcium, augmente son élimination et freine la formation du tissu osseux", explique le Pr Philippe Orcel.
    En pratique. "Si votre médecin vous prescrit un traitement à la cortisone au long cours, il essaiera de limiter la dose journalière à moins de 7,5 mg. Dans le cas où une dose supérieure doit être prévue, un traitement préventif sera proposé : vitamine D, calcium et biphosphonate."

     

     

     

     consommez du calcium

    Le calcium  est important non pas parce qu'il colmate les pertes osseuses mais parce qu'il les empêche. En effet, lorsque le taux de calcium baisse dans le sang, l'organisme produit une hormone, la parathormone, qui libère le calcium (notamment des os) pour le mettre en circulation dans le sang. La parathormone accélère donc le remodelage osseux en augmentant, entre autres, la résorption osseuse.
    En pratique. "Il faut 1g de calcium par jour", conseille le Pr Philippe Orcel. "Il peut être apporté par les produits laitiers. Mais il faut aussi penser aux eaux minérales calciques qui apportent 0 calories et 0 cholestérol". Lesquelles ? Hépar, Contrex, Vittel.

     

     

     Attention aux régimes !

    "Un indice de masse corporel trop bas favorise l'ostéoporose", constate le Pr Philippe Orcel. Pour connaître le vôtre, divisez votre poids par votre taille en mètre carré (par exemple 1,70m x 1,70m). Si le chiffre que vous obtenez est en-dessous de 19, votre risque est augmenté.
    En pratique. Maintenez votre IMC entre 20 et 25 et si vous devez perdre un peu de poids, misez sur l'équilibre : n'abusez pas des fibres, n'oubliez ni les protéines ni le calcium. Pour une bonne dose de ce minéral, choisissez une eau calcique ou le fromage blanc à 0% qui apporte autant de calcium et de protéines que le fromage blanc non allégé mais sans les calories.

     

     

     

     
     

     Surveillez vos hormones

    "La chute de la production d'oestrogènes liée à la ménopause provoque une accélération du remodelage osseux avec une augmentation des ostéoclastes responsables de la résorption du tissu", explique le Pr Philippe Orcel. "Mais, dans une moindre mesure, le phénomène s'observe aussi chez l'homme avec l'andropause: la perte d'hormones sexuelles est aussi liée chez lui à une fragilisation du squelette."
    En pratique. "Le Traitement subsitutif de la ménopause n'est pas donné à titre préventif contre l'ostéoporose. En revanche, lorsqu'il est prescrit en dose suffisante, à une femme pour des raisons gynécologiques (bouffées de chaleur), les études ont montré que ses risques en matière d'ostéoporose étaient divisés par deux.

     

     

     

     

     Supplémentez en vitamine D

    "La vitamine D permet une meilleure absorption du calcium", explique le Pr Philippe Orcel." Toutefois, le manque de vitamine D est largement observé en France. Tois quarts des femmes accuseraient un déficit en la matière. Le dosage par test sanguin de la vitamine D stockée par l'organisme permet de dépister la carence. Il s'agit d'un examen simple, peu coûteux 30€ (remboursés par l'Assurance maladie) et très important pour la santé de ses os."
    En pratique : la vitamine D est très peu apportée par l'alimentation, seuls quelques poissons gras en contiennent mais en toute petite quantité. "Mieux vaut miser sur la supplémentation. Un traitement coûte quelques centimes d'euros, il est sans danger et très efficace", ajoute le spécialiste.

     

     

      

     Evitez les ennemis des os

    "Le tabac et l'alcool en grandes quantités favorisent la perte osseuse", note le Pr Philippe Orcel. De même, la caféine augmente l'élimination du calcium par les urines et les fibres perturbent son assimilation.
    En pratique. Essayer d'arrêter de fumer. Côté alcool "mieux vaut ne pas dépasser l'équivalent de 3 verres de vin par jour", conseille le spécialiste. Enfin, lorsque vous consommez des fibres (céréales complètes, légumes secs...), prenez votre dose de calcium lors du repas suivant.

     Et ne forcez pas trop sur le café et le thé qui lui aussi contient de la caféine.

     

        

     

     Des risques de fracture du col du fémur et de la hanche

    En terme de fréquence, la fracture du col du fémur ou de la hanche est la deuxième fracture liée à l'ostéoporose. Chaque année, en France, on compte environ 50 000 hospitalisations pour ce motif, contre 60 000 pour les fractures vertébrales et environ 35 000 pour les fractures du poignet liées à l’ostéoporose.
    "Le risque de fracture de la hanche augmente avec l'âge", précise le Pr Philippe Orcel, rhumatologue. L'âge moyen de survenue de ces accidents est de 81 ans chez les femmes.
    Comment l'éviter ? Il est important de travailler sa musculature et son équilibre afin de prévenir les chutes. De même, mieux vaut supprimer les tapis dans la maison, préférer les douches aux baignoires et s'équiper de chaussures maintenant bien le pied et munies de semelles antidérapantes.

     

     

     

      

     La mortalité en hausse

    "10 à 20% des personnes victimes d'une fracture de la hanche liée à une ostéoporose décèdent dans l'année qui suit l'hospitalisation", constate le Pr Philippe Orcel, rhumatologue. Un constat terrible qui s'ajoute à d'autres chiffres : dans l'année, 95% présenteront des difficultés à monter un escalier, 75% perdront leur autonomie dans leur activité quotidienne et 40% ne marcheront plus sans assistance. Un tableau sombre qui montre combien sont importantes la prévention de l'ostéoporose, d'une part, et la prévention des chutes, d'autre part. Toutefois, précise le spécialiste, "même si la fracture de la hanche est la plus grave, une étude a montré qu'une fracture considérée comme mineure pouvait aussi réduire l'espérance de vie.

     

      merci

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