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    On dit souvent que les amandes sont trop grasses ou trop salées... Mais au contraire, elles sont pleines de vertus ! Bonnes pour le cœur, excellentes pour l’estomac et le transit, antioxydantes... Il suffit de savoir comment les consommer ! Le point avec le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste.

     

     

                               

    Des amandes pour réguler le cholestérol

    Consommer des amandes quotidiennement aide à baisser le taux de cholestérol dans le sang. C’est ce que démontre une étude réalisée en Iran  en 2010 sur l’action d’une supplémentation quotidienne d’amandes durant 4 semaines chez des patients sujets ayant un taux de cholestérol élevé.

    Comment ça marche ? Comme l’explique le Dr Arnaud Cocaul, nutritionniste, l’action anti-cholestérol de l'amande est principalement due aux fibres qu’elle contient, qui emprisonnent le mauvais cholestérol dans le tube digestif avant qu’il ne passe dans le sang, et en permettent l’élimination par les selles.

    Quelle quanité d'amandes consommer pour réguler son cholestérol ? Consommez quotidiennement une poignée d’amandes, environ 30g grammes.

     

     

     

     

     

     

                                                  

    Amandes : des vertus contre l'hypertension

    Manger des amandes tous les jours peut aider à réguler votre tension sanguine.

    Comment ça marche ? Les amandes renferment du potassium, un oligo-élément qui permet d’éliminer le sel en excès dans le sang. Mais cet effet n’est effectif que si vous choisissez des amandes non salées ! Sinon, vous obtiendrez l’effet inverse... Préférez donc les amandes fraîches, natures, ou séchées, mais évitez les amandes salées ou aromatisées du rayon apéritif.

    Quelle quantité d'amandes consommer contre l'hypertension : “Manger quotidiennement une poignée d’amandes peut permettre de réguler votre HTA, en compensant le surplus de sel apporté par votre alimentation” explique le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste.

    ATTENTION : contre l'hypertension, vous n'avez droit qu'aux amandes non salées .

     

     

                                                     

    Les amandes améliorent le transit

    Les amandes sont bonnes pour le transit intestinal parce qu’elles sont gorgées de fibres.

    Comment ça marche ? On distingue deux types de fibres, toutes deux présentes dans l’amande :

    - Les fibres solubles, à l’intérieur de l’amande, qui agglutinent les résidus alimentaires dans l’intestin pour leur permettre d’être évacués.

    - Les fibres insolubles qui gonflent dans le tube digestif, en stimulant l’activité, et accélèrent le transit.

    Quelle quantité d'amandes consommer pour le transit ? Intégrez l’amande à votre alimentation quotidienne, à raison d’une dizaine par jour. Préférez-la fraîche, et pour le transit, si vous en supportez la digestion, consommez aussi la pellicule de l’amande qui est pleine de fibres.

    A noter : en plus d’être bonnes pour le transit, les fibres augmentent aussi l’impression de satiété ! Une poignée d’amandes fait donc une collation idéale.

     

     

     

     

                                               

    Les amandes anti brûlures d'estomac

    L’huile contenue dans l’amande, qui en est extraite lorsqu’on la mâche, tapisse les parois de l’estomac, agissant comme une couche protectrice contre les brûlures d’estomac. C’est ce qu’auraient démontré plusieurs études réalisées par le Professeur Kleeberg (Les Aliments Qui Guérissent - Leduc éditions, 2008).

    Comment ça marche ? D’après ces études, la matière grasse de l’amande absorberait les acides de l’estomac. Plusieurs de ses composants naturels pourraient également avoir des effets régulateurs sur les secrétions trop excessives de sucs gastriques, mais comme l’explique le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste “ces phénomènes méritent des études scientifiques plus approfondies”.

    Quelle quantité d'amandes consommer contre l'acidité gastriques ? En cas de brûlures gastriques, mangez quelques amandes fraîches. Chez certaines personnes, la peau des amandes peut être irritante. Si vous observez une gène digestive, retirez la peau avant de les consommer.

     

     

     

     

                                                                            

    L’amande : riche en magnésium, manganèse, phosphore, fer...

    Calcium et potassium ne sont pas les seuls nutriments que l’on trouve dans l’amande !

    Elle est aussi gorgée de magnésium, de manganèse, de phosphore, de fer, de soufre, de zinc, de cuivre et de vitamines B, A et E.

    Autant de nutriments indispensables au bon fonctionnement de notre organisme : ils stimulent notre système immunitaire, nous renforcent en période de convalescence, assurent l’équilibre de notre système nerveux...

    Comme l’indique Sophie Lacoste (Les Aliments Qui Guérissent, Leduc Editions 2008), les amandes peuvent être un bon complément contre la fatigue intellectuelle, ou physique, pour équilibrer le système nerveux et le système digestif.

     

     

     

     

     

     

                                                

    Amandes : bourrées d'antioxydants

    L’amande est l’un des oléagineux les plus intéressants en termes d’antioxydants, notamment grâce à la Vitamine E et au zinc qu’elle contient.

    Les antioxydants sont des composés qui luttent contre les radicaux libres dans l’organisme, responsables du vieillissement et de l’apparition de certains cancers . Un régime alimentaire antioxydant contribue également au maintient d’une bonne santé cardiovasculaire et préviendrait l’apparition de certaines maladies dégénératives, comme Parkinson ou Alzheimer.

    “Si l’amande n’est pas aussi antioxydante que les fruits et légumes colorés", explique le Dr Arnaud Cocaul, "elle reste un parfait aliment à ajouter à un régime alimentaire équilibré, non seulement en raison de ses vertus antioxydantes, mais aussi des sels et minéraux qu’elle contient”.

     

     

                                                  

    Comment consommer l'amande ?

    Comme c’est le cas pour beaucoup d’aliments, l’amande conserve mieux ses bienfaits lorsqu’elle subit peu ou pas de cuisson. Si vous la cuisinez, veillez donc à l’ajouter à la cuisson au dernier moment, pour l’exposer le moins possible à la chaleur.

    Elle peut aussi se consommer fraîche ! Vous la trouverez sous cette forme sur les marchés, à la fin de l’été et au début de l’automne.

    Sinon, elle existe sous toutes les formes que l’on connaît déjà : grillée, effilée, en poudre... Mais pensez à lire les étiquettes ! Évitez les amandes salées, qui feront plus de mal que de bien à votre organisme. Le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste, conseille de choisir les amandes en provenance des Etats-Unis. En tant que plus gros producteur d’amandes, elles y sont produites dans le cadre d’une réglementation contrôlée.

    Pour une meilleure conservation et pour les protéger de l’oxydation, gardez vos amandes dans des bocaux hermétiques, à l'abri de la lumière et de la chaleur.

     

                                                                                   

     

     

     

    bonne semaine

     

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      Bonsoir  à vous tous et toutes,

     

     

    Le mail que j'ai reçu ce matin et que j'avais diffusé sur 

     

     

     mon  blog  pour sauver une petite fille de 1 an Lucie.

     

     

    Je le supprime car il s'avère que c'était un canular...

     

     

    Et qu'une blogueuse me l'a confirmé !!

     

     

    Merci à vous  et bonne fin de soirée !!

     

     

     

     

     

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    Le syndrome du canal carpien, qui débute par de légers fourmillements et peut aller jusqu’à la paralysie de la main, est très fréquent à partir de 50 ans. Voici les signes qui doivent alerter et les solutions pour s’en débarrasser !

     

     

                                                            

                      très fréquent à 50 ans

    Le syndrome du canal carpien, qui débute insidieusement par des fourmillements dans la main et peut aller jusqu’à la paralysie, est un syndrome de plus en plus fréquent... Son incidence croît avec l’âge et son pic de fréquence maximum se situe vers 50 ans.

    Concrètement, la cause de ce syndrome est toujours la même : le ligament qui se situe à la face antérieure du poignet serre et comprime l’ensemble des vaisseaux et des muscles, ainsi que le nerf médian innervant une grande partie de la main...

     

                                                                            

                               les principaux facteurs de risque

    Plusieurs facteurs de risque favorisent la survenue d’un syndrome du canal carpien : les infections des articulations (ou arthrites), les maladies métaboliques comme le diabète ou la goutte, les causes d’origine mécaniques type fractures et kystes du poignet, ou encore une grossesse.

    Les médicaments contre les maladies de la thyroïde (hypothyroïdie par exemple) favorisent également l’apparition d’un canal carpien.

     

                                                                    

                                   des professions à risque

    La répétition d’un même geste sollicitant beaucoup la main sur une longue période professionnelle serait également à l’origine du syndrome du canal carpien.

    Les mouvements répétitifs de la main nécessaires à l’exercice du métier de caissier/caissière ou de coiffeur, par exemple, augmenteraient ses risques de survenue. Même chose pour les boulangers et les peintres aux pistolets (la forte préhension et le stress sur les paumes seraient en cause). Enfin, les vibrations seraient également responsables, d’où une forte incidence de la maladie dans les métiers du bâtiment...

     

                                                                          

                                         comment le prévenir ?

    Eviter certaines positions et certains mouvements de la main permettrait de prévenir le syndrome du canal carpien.

    Si vous n’êtes plus en activité : il faut éviter les gestes répétitifs, intensifs. Une pratique excessive du tricot ou l’usage d’un clavier mécanique ne sont certainement pas sans risque… à moins de faire des pauses.

    Si vous êtes encore en activité : mieux vaudrait éviter les positions professionnelles "à risque" (ne pas casser le poignet pour se servir d’un clavier, par exemple) et, surtout, la répétition des mêmes gestes. Il semble également recommandé d’alterner les périodes de repos et de travail durant la journée pour éviter la monotonie et la répétitivité.

     

     

                                                                       

                                     les solutions thérapeutiques

    Le traitement du syndrome du canal carpien dépend du stade auquel il est diagnostiqué. Si les symptômes sont purement sensitifs (fourmillements dans les doigts), un traitement qui associe anti-inflammatoires, repos, attelle et prescrit l’évitement des causes favorisantes est le plus indiqué.

    Il est indispensable de consulter un chirurgien en vue d’une intervention, si les examens pratiqués (électromyogramme) confirment une atteinte motrice (diminution de la force musculaire).

    Attention : la force musculaire demeure affaiblie dans 30 % des cas malgré une chirurgie adaptée car les lésions nerveuses sont déjà irréversibles.

     

     

                                                                          

                                               qui consulter ?

    Le canal carpien est souvent simple à diagnostiquer. Toutefois, votre médecin traitant doit vous examiner de façon approfondie pour éliminer les autres possibilités. En cas de suspicion importante, il faut confirmer la profondeur de l’atteinte avant prescription du traitement le plus adapté. L’électromyogramme, qui consiste à stimuler les muscles de la main par des petites électrodes plantées dans les régions musculaires correspondantes, est la seule possibilité d’objectiver l’étendue des lésions. Cet examen doit être réalisé par un neurologue. Si besoin, le chirurgien réalise une intervention qui consiste à libérer le ligament concerné - sous anesthésie locale.

     

     

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    Fièvre, courbatures, maux de tête, fatigue ? Pas de panique ! Contre la grippe, il existe aussi des remèdes naturels, rapides et efficaces. Le point avec le Dr Christine Cieur-Tranquard, spécialiste des médecines douces.

     

     

     

                                                                                     

    Reine-des-prés : contre la fièvre

    Les fleurs de reine-des-prés "Contiennent des salicosides qui se transforment dans l’organisme en acide salicylique, un principe actif très proche de l’acide acétyl-salicylique (aspirine)", explique le Dr Christine Cieur-Tranquard, pharmacienne.
    Comment l’utiliser ? Chauffer 1 tasse d’eau (sans faire bouillir). Verser une cuillère à c. de fleurs. Couvrir. Laisser infuser 5 à 10 min. Filtrer.
    Posologie : 3 à 4 tasses/jour jusqu’à ce que la fièvre baisse en alternance ou non avec l’aspirine mais jamais en association.
    Autre bienfait : Infusion efficace contre les maux de tête.
    Attention : La reine-des-prés est contre-indiquée en cas d’allergie ou d’intolérance à l’aspirine. Si la fièvre persiste 48h, consultez.

     

     

                                                       

    Arnica contre les courbatures

    Les courbatures, symptômes caractéristiques de la grippe, peuvent être soulagées par l’homéopathie. Le Dr Christine Cieur-Tranquard, pharmacienne, conseille la prise d’Arnica Montana 9H (surtout en cas de grosses courbatures).
    Posologie : 3 granules, deux ou trois fois par jour, sans dépasser trois ou quatre jours de prise, seule ou en association à un traitement classique anti grippal.
    Attention : "Dès que l’on sent que les courbatures disparaissent, inutile de poursuivre le traitement homéopathique car il peut alors avoir l’effet inverse et induire le symptôme", prévient notre spécialiste.

     

                                                                                     

    Saule : contre les maux de tête

    "L’écorce de saule soulage les maux de tête car elle contient des salicosides, molécule proche de l’aspirine. Elle agit comme un anti-inflammatoire", explique le Dr Christine Cieur-Tranquard.
    Comment l’utiliser ? 2 à 3g d’écorce de saule dans 1 tasse d’eau. Porter à frémissement. Retirer du feu, couvrir. Laisser infuser 15 min. Filtrer.
    Posologie : 3 tasses/jour, avant repas. Arrêt dès amélioration des symptômes. En alternance avec l’aspirine, mais pas en association (risque de surdosage).
    Autres bienfaits : anti fièvre.
    Attention : contre-indiquée en cas d’asthme, d’ulcère gastro-duodénal ou d’allergie à l’aspirine. Si les maux de tête persistent consultés votre médecin!

     

     

                                                      

    Acérola : tonique anti-fatigue

    L’acérola c’est la plante systématique en cas de grippe car l’organisme est HS ! Naturellement riche en vitamine C (environ 4,5% par fruit), cette plante est connue pour ses bienfaits anti-fatigue. Rappel, la vitamine C favorise l’assimilation du fer, qui en participant au bon transport de l’oxygène réduit la sensation de fatigue et stimule l’immunité.
    Comment l’utiliser ? En extrait sec à 25% de vitamine C.
    Posologie : 3 à 6 comprimés par jour (disponible en pharmacie), à prendre en complément de tout traitement anti-grippe, une semaine environ.
    Autres bienfaits : L’acérola stimule aussi la guérison
    Attention : Si la fatigue persiste plus de 48h sans raison (effort physique.

    

    

    

                                                    

    Sureau noir : anti nez bouché

    "Le sureau est un décongestionnant efficace", explique le Dr Christine Cieur-Tranquard, pharmacienne. Une étude menée en 1995 pendant une épidémie de grippe B a démontré que 93% des malades prenant des baies de sureau noir avaient eu une amélioration significative des symptômes et une guérison complète en 2 à 3 jours… contre 6 jours pour ceux sous placebo.
    Comment l’utiliser ? En infusion : 3g de fleurs pour 1 tasse d’eau bouillante. 6 à 8 tasses/jour. Ou en gélules : 2 ou 3/jour.
    Posologie : 7 jours maximum, seul ou en association à un traitement classique.
    Autres bienfaits : Il stimule l’immunité, empêche la multiplication du virus, et active la sudation qui élimine les toxines.
    Attention : Si les symptômes persistent plus de 48h, consultez

     

     

     

                                                                                    

    Eucalyptus, ravintsara et niaouli : anti toux

    Maux de gorge et toux sèche sont des symptômes fréquents de la grippe. Utilisez les huiles essentielles d’eucalyptus radiata, de ravintsara et de niaouli. "La première fludifie les mucosités pulmonaires. Les deux autres dégagent les voies respiratoires", explique le Dr Christine Cieur-Tranquard.
    Comment les utiliser ? Mélanger les HE à parts égales. Diluer 2 gouttes du mélange dans un peu d’huile végétale. En massage sur le thorax et le haut du dos.
    Posologie : 4 fois/jour, 3 jours, seul ou en association à un traitement classique anti grippal.
    Autres bienfaits : Ce mélange stimule l’immunité, est antiviral et antibactérien

     

     

     

                                                                               

    Echinacée : pour accélérer la guérison !

    L’échinacée c’est LA plante anti-grippe ! En 2000, une étude a démontré qu’elle soulage les symptômes de la grippe plus rapidement qu’un placebo. "C’est une plante antivirale beaucoup plus rapide", explique le Dr Christine Cieur-Tranquard, pharmacienne.
    Comment l’utiliser ? Verser environ 150ml d’eau bouillante sur une demi-cuillère à c. de racine fragmentée. Couvrir et laisser infuser 15 min. Filtrer.
    Posologie : 4 tasses/jour, en dehors des heures de repas, une semaine, seule ou en association avec un traitement classique de la grippe.

                                                        

    Pin, sapin, eucalyptus pour assainir l’atmosphère

    Pour guérir vite, mieux vaut également éliminer le virus grippal de l’air que l’on respire ! Les huiles essentielles de pin et de sapin "limitent la propagation du virus", explique le Dr Christine Cieur-Tranquard.
    Comment les utiliser ? Mélanger à parts égales les HE de pin maritime, de sapin baumier et de sapin de Sibérie pour un flacon de 30ml. Déposer le mélange sur une soucoupe près d’une source de chaleur ou dans un diffuseur.
    Posologie : A diffuser 10 min., 2 à 3 fois/jour, hors de la présence d’enfants.
    Autres bienfaits : Ce mélange dégage les voies respiratoires.
    Attention : Les HE ne sont pas sans danger. Respectez les doses indiquées.

     

     

                                                   

    Grog de cannelle, citron et girofle : anti viral !

    Cannelle, citron et clou de girofle "sont antiseptiques, anti-viraux et anti-infectieux", explique le Dr Christine Cieur-Tranquard, pharmacienne.
    Comment les utiliser ? Faire chauffer un bol d’eau avec une cuillère à c. d’écorce de cannelle et deux clous de girofle. Couvrir dès ébullition et retirer du feu. Infuser 10 à 15 min. Ajouter le jus d’un demi-citron. Boire chaud. L’astuce : les prendre en grog pour réchauffer et stimuler la transpiration. "Plus on transpire, plus on élimine les toxines, et mieux on se débarrasse de la maladie."
    Posologie : 3 tasses/jour, 7 jours maximum, seules ou en association à un traitement classique.
    Autres bienfaits du grog : énergisant et stimulant.

     

                                              

    Comment utiliser ces remèdes sans risque ?

    Les remèdes naturels anti grippe ne sont pas sans risque. Pour bien les utiliser et optimiser leur efficacité, le Dr Christine Cieur-Tranquard, pharmacienne, conseille :
    - Alterner la tisane d’échinacée avec le grog cannelle, citron et girofle.
    - Ne jamais diffuser les huiles essentielles irritantes (cannelle, girofle, sarriette, origan…).
    - Alterner la tisane de reine-des-prés et le grog sur une même journée en cas de forte fièvre ou courbatures douloureuses.
    - Associer une tisane avec le complexe d’HE (eucalyptus, ravintsara, niaouli).
    - Associer l’échinacée et l’acérola .

     

     

                                                                                 

    Où trouver ces remèdes naturels anti grippe ?

    Il est important d’acheter en lieux sûrs ces remèdes naturels. Le lieu de vente le plus sécurisé est la pharmacie ou la parapharmacie. Vous pouvez y trouver l’homéopathie, les huiles essentielles et les plantes. Mais on trouve aussi des HE dans des boutiques spécialisées comme Natures et Découvertes. Elles doivent être pures et 100% naturelles. Les herboristeries et les magasins de diététique vendent également des plantes.
    Attention : L’achat de produit naturel est fortement déconseillé sur Internet, dans les boutiques de souvenirs ou encore sur les marchés. Les contrôles sont rares, ou le plus souvent inexistants

     

     

     

     

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    Soulagez vos rhumatismes.

    Pour apporter une amélioration aux douleurs, prenez un bain chaud dans lequel vous aurez versé une décoction de 40 g de feuilles de laurier sauce, préparée dans 1 litre d'eau bouillante.

    En complément, buvez une infusion de feuilles de cassis, à raison de 50 gramme de feuilles pour 1 litre d'eau bouillante.

    Buvez 3 à 4 tasses par jour.

     

     

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    source : http://lejardindenanny.skynetblogs.be/archive/2008/week12/index.html

     

    une tisane de feuilles de laurier agit à plusieurs niveaux:
    * contre les ballonnements,
    * l'insomnie,
    * la toux

    ...De nos jours, on reconnaît au laurier des propriétés antiseptiques qui justifient son emploi dans les marinades. Il stimule les estomacs paresseux, réveille l'appétit, combat les fermentations. On le recommande aussi comme expectorant, précieux dans les rhumes et les bronchites. Cazin lui a trouvé des vertus diurétiques et antirhumatismales. La poudre de feuilles de laurier jouit de propriétés fébrifuges. A l'extérieur, le laurier est très renommé, surtout dans le Midi, de la France contre les rhumatismes.

    Pour l'herboriste, la feuille de laurier est un stimulant énergique de la digestion, employé avec succès en cas d'atonie, de dyspepsie, de ballonnement et de gastro-entérite.

    L'action stimulante et réchauffant du laurier, rend aussi d'éminents services en cas de bronchite, laryngite, pharyngite ainsi que grippe et refroidissement.

    Source : http://www.epicier.ch/cont ents/fr/d619_laurier_vertu s.html

     


      Bonne journée

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