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      Bienvenue

     

     

     

     

     

     

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    La Cité de la Mer est un parc scientifique et ludique, inaugurée le 29 avril 2002 à Cherbourg-Octeville, consacrée à l'exploration sous-marine et à la découverte des grandes profondeurs.

    Elle a pris place dans le bâtiment Art-déco de l'ancienne Gare Transatlantique de Cherbourg.

     

    La gare maritime

    Dessin de la Gare maritime en 1933
    Article détaillé : Gare de Cherbourg-Transatlantique.

     

     

    L'ancienne Gare maritime transatlantique est le plus grand monument français d'Art déco. Elle a été construite par René Levavasseur à partir de 1928, en collaboration avec les ingénieurs Chalos et Fleury, en béton armé, briques claires et pierres de béton imitant le granit. Surnommée Notre Dame des Queens, en référence aux paquebots de la Cunard Line, elle a été inaugurée le 30 juillet  1933 par le président de la République Albert Lebrun.

    L'ensemble était composé du hall des trains de 240 m, surmonté d'un campanile de 70 m, et du hall des transatlantiques (avec salle des pas perdus, bureaux des compagnies, boutiques…) et de la galerie couverte d'embarquement. Deux trains et deux paquebots pouvaient être accueillis simultanément. Elle est dynamitée par les Allemands dans la nuit du 23 juin 1944, avant d'être partiellement reconstruite à partir de 1948 et réinaugurée en 1952 en présence d'Antoine Pinay.

    Abandonnée dans les années 1970, la gare maritime est partiellement démolie, avant d'être inscrite aux monuments historiques en 1989 et 2000.

    La Cité de la Mer

    Le sous-marin nucléaire Redoutable et la façade nord de la gare maritime transatlantique

     

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    L'idée d'un musée autour du Redoutable, premier sous-marin nucléaire français, date du lancement de son démantèlement, à la fin des années 1980. Le président de la Communauté urbaine de Cherbourg (CUC), et par ailleurs ministre du Tourisme, Olivier Stirn, lance une étude pour la conception d'un tel musée, mais l'ampleur décourage les élus. Mais quelques associations actives réussissent à ce que soit inscrit en 1995 par les conseils municipaux de l'agglomération, le transfert de compétence à la CUC pour la conception, la réalisation et la gestion d'un musée naval, au sein de la gare transatlantique.

    Dès lors porté par Bernard Cauvin, président de la CUC, le projet s'inscrit également dans la réhabilitation de l'ancienne gare maritime de René Levavasseur, plus grand monument «art déco» de France, confiée à l'architecte Jean-François Milou.

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    Attractions

    Un parcours muséographique permet aux visiteurs de découvrir comment l’homme, tiraillé entre ses peurs de l’inconnu et son goût pour l’aventure, s’est risqué de plus en plus profond sous la surface.
    Ce parcours s'articule autour de trois pôles :

    Pôle océan

    Ce parcours est ponctué de 17 aquariums avec plus de 1000 poissons tropicaux, dont l’aquarium abyssal, de 10,70 m de profondeur. Ces aquariums permettent de voir comment l’Homme s’est inspiré du monde animal pour inventer des techniques d’évolution sous-marine.

     

     

     

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    Pôle sous-marin

    Celui-ci est consacré à l’aventure technologique et humaine autour de ces engins qui explorent les grandes profondeurs. Du Nautilus de Jules Verne à la station abyssale d’Henri Germain Delauze en passant par le Nautile d’Ifremer, le visiteur découvre une collection unique en son genre.

    Les visiteurs peuvent aussi voir dans le hall de la Gare maritime transatlantique, un canon remonté de l'épave de l'USS Alabama, coulé au large de Cherbourg en 1864, ainsi que le bathyscaphe Archimède mis à disposition par le Musée national de la Marine. Archimède, avec à son bord le commandant O'Byrne, le professeur Sazaki et Henri Germain Delauze, a atteint le 25 juillet 1962, dans la fosse des Kouriles, la profondeur de 9 545 mètres.

     

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    La Comex a offert cinq sous-marins d'exploration à la Cité 

     

     

     

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    J'espère que cet article vous aura plu ?

     

    Si vous passez dans la région ,allez visiter ce lieu magique ça vaut le coup d'oeil !!!

     

     

    commentaires sur wikipédia et les photos sont personnelles !!!

     

      

     

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      Bonjour tout le monde

     

     

     

     

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     Le port de Cherbourg  au loin la grande rade et la petite rade. 

     

     

    Cherbourg-Octeville  est une commune française, du département de la Manche et de la région Basse-Normandie. Elle résulte de la fusion des villes de Cherbourg et d'Octeville en 2000.

    Située à l'extrêmité nord du Cotentin, protégée par la rade artificielle la plus grande au monde, entre la Hague et le Val de Saire, la cité a été au cours des siècles une place stratégique disputée entre Anglais et Français. Citée comme une des deux « clés du royaume » par Vauban, elle est devenue, par de colossaux travaux d’aménagement maritime, un port militaire de premier ordre, sous l’impulsion de Louis XVI et Napoléon Ier. Escale des prestigieux paquebots transatlantiques dans la première moitié du XXe siècle, Cherbourg a été l’objectif premier des troupes américaines lors du Débarquement de Normandie en 1944.

    Préfecture maritime, et sous-préfecture de la Manche, ses 40 300 habitants en font la première ville du département devant la préfecture Saint-Lô et la deuxième de la région après Caen. Port militaire, halieutique, plaisancier et de passagers transmanche, handicapé par son isolement géographique pour être un grand port marchand, c'est un pôle de construction navale important, une ville ouvrière dans un arrière-pays rural.

     

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              La gare maritime qui a été démolie  en 1944 

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                 La gare maritime qui a été reconstruite

    Situation

    La péninsule du Cotentin

     

    À peu près au milieu des côtes septentrionales de la presqu'île du Cotentin, à l'embouchure de la Divette et au fond de la baie comprise entre le cap Lévi à l'est et le cap de la Hague à l’ouest, Cherbourg-Octeville est distant de 120 kilomètres des côtes anglaises. Plus grande ville du département de la Manche, elle résulte de la fusion des communes de Cherbourg et d'Octeville.

    Cherbourg et Octeville-sur-Cherbourg appartenaient autrefois au doyenné de la Hague, délimité par la Divette. En 1786, une partie d’Équeurdreville est jointe à Cherbourg, lors de la construction du port, puis en 1802, une portion d'Octeville. Depuis 1811, les « mielles » de Tourlaville, commune du doyenné de Saire, sont intégrées au territoire cherbourgeois sous le nom du quartier du Val-de-Saire où ont été construits l’hôpital Pasteur et l'église Saint-Clément . Ainsi, Cherbourg-Octeville se trouve à la fois dans la Hague et dans le Val de Saire .

    Comme l'ensemble Chantereyne et le terre-plein des Mielles, le territoire cherbourgeois a été gagné sur la mer. Construite au niveau de la mer, la ville s'est développée au pied de la montagne du Roule (point culminant de l’ancienne commune) et de la Fauconnière. Octeville est une ancienne commune rurale, composée de hameaux, dont le bourg s'est étendu à partir du XIXe siècle et dont le territoire s'est fortement urbanisé depuis 1950, en particulier autour de la ZUP des Provinces et du site universitaire.

    Les communes limitrophes sont Tourlaville à l'est, Équeurdreville-Hainneville à l’ouest, La Glacerie au sud et sud-est, Martinvast au sud, Nouainville et Sideville au sud-ouest.

     

     

     

    La Montagne du Roule depuis le bassin de commerce

     

    Situé à l'extrémité du massif armoricain, Cherbourg-Octeville conserve les traces de la formation, sur les granites déformés et schistes métamorphiques du précambrien, de la chaîne hercynienne par le plissement des arkoses du Cambrien et des schistes et grès armoricains de l’Ordovicien. Ces plis se traduisent par des couches de grès inclinées de 45° vers le nord-est, sur la Fauconnière (dont « La Roche qui pend ») et la Montagne du Roule . Ces deux falaises mortes sont dues à l'érosion maritime au quaternaire. Le retrait de la mer a ensuite laissé la place à des cordons dunaires et des marais arrière-littoraux, détruits par l’urbanisation du XVIIe et XIXe siècles, identiques à ceux de Collignon à Tourlaville .

    Ces roches présentes dans les sols ont été exploitées au cours des siècles dans plusieurs carrières : le granit écrasé extrait à Querqueville et les arkoses du Becquet, ont été utilisés pour la confection de moellons et de blocs équarris pour linteau. Les schistes verts, dont la couleur provient de la chlorite et la séricite, sont essentiellement exploités en couvertures dans le Nord-Cotentin, mais aussi en maçonnerie à Cherbourg. Le grès armoricain de la Montagne du Roule sert aux moellons et à l'enrochement. La plupart des nombreuses carrières ouvertes dans l’agglomération pour les travaux de la digue sont aujourd'hui fermée.

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                           Eglise Notre Dame de la Trinité.

     

     

     

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                Un aperçu du centre-ville.

     

     

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                             Son théâtre.

     

     

     

    Peut-être avez-vous vu le film des Parapluies de Cherbourg  un film de

     

    Jacques DEMY......Qui a été tourné dans la ville.

     

     

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    Photos et commentaires pris sur Wikipédia.

     

    La prochaine fois je vous parlerais de la Cité de la mer et vous mettrais des photos.

     

      textes pour blog

     

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  •         bonjour           

     

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    Saint-Lô Basse-Normandie.

    Bien qu'elle soit la deuxième plus grande ville de la Manche après Cherbourg, elle demeure la préfecture et le chef-lieu du département. Elle est également chef-lieu d'un arrondissement et de deux cantons (Saint-Lô-Est - Saint-Lô-Ouest).

    Ses habitants sont appelés Saint-Lois(es). Les noms de Laudois(es), Laudien(ne)s ou Laudinien(ne)s sont également cités.

    Ville

     

    Saint-Lô (ou Saint-Laud) est une commune française de 19 320 habitants, située dans le département de la Manche et la région martyre de la Seconde Guerre mondiale, Saint-Lô fut décorée de la Légion d'honneur en 1948 et reçut le surnom de « Capitale des Ruines », une expression popularisée par Samuel Beckett.

     
    La Vire vue du pont Roanoke

    Saint-Lô est situé dans le centre de la Manche, au milieu du bocage saint-lois. Le centre-ville se situe sur un éperon rocheux en schiste appartenant au massif armoricain qui domine la Vire. Elle est au confluent de la Dollée et du Torteron, deux rivières canalisées dans leur partie urbaine. (vallon de la Dollée).

    La cité, anciennement appelé Briovère, « le pont sur la Vire » en langue celtique, est née sur un éperon rocheux au confluent de la Vire, la Dollée et le Torteron, dans le Cotentin. Ce cœur historique de la ville est devenu « L'Enclos », un site bien adapté à la défense passive.

    En 1964, elle absorba deux villages voisins, Sainte-Croix-de-Saint-Lô (660 habitants en 1962) et Saint-Thomas-de-Saint-Lô (306 habitants).

     

     

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    Saint-Lô bénéficie du climat doux océanique caractérisé par des hivers doux et des étés tempérés.

    Elle compte une pluviométrie annuelle moyenne de 800 à 900 mm/an. Les pluies sont assez fréquentes tout au long de l'année mais plus abondantes en automne et en hiver, en liaison avec les perturbations venant de l'océan Atlantique. Rarement intenses, elles tombent souvent sous forme de bruine (crachin).

    La température moyenne est de 10 °C.

    • en hiver, la température moyenne oscille entre 1 °C et 7 °C. On compte entre 30 et 40 journées de gel par année.
    • en été, la température moyenne est située autour de 20 °C.

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    Saint-Lô est situé au centre du département de la Manche et constitue donc un nœud de communication entre le Nord-Cotentin et le Sud-Manche.

     

    Saint-Lô se situant à mi-chemin de l'axe Coutances-Bayeux (D972), une rocade a été mise en service dans les années 1980 pour permettre le désengorgement de la ville par le sud.

    Plus récemment, pour désenclaver le port de Cherbourg, la région et le département ont décidé la construction d'une 2×2 voies, la route nationale 174. Elle constitue un maillon de la route européenne E03 et permet une liaison directe vers Rennes et l'Europe du Sud par l'échangeur de Guilberville. Aujourd'hui le tronçon sud relie Saint-Lô directement à l'autoroute A84, permettant un accès autoroutier vers Caen et Rennes. La mise en service du tronçon nord actuellement en travaux permettra quant à lui un accès vers Cherbourg et l'Angleterre via la Route nationale 13. La construction de la 2×2 voies a permis l'extension de la petite rocade sud vers l'ouest et sa mutation en véritable périphérique urbain. Elle a également permis la création et l'extension de nouvelles zones d'activités qui contribue fortement à l'essor actuel de l'agglomération.

       La capitale des ruines

    Entrée de la grotte dans les remparts
     
    Saint-Lô, capitale des ruines
    Ruines de la gare

    La France est envahie en 1940 et la 7e division de Panzer, commandée par Rommel, entre en Basse-Normandie. L'objectif étant la prise du port de Cherbourg, le centre manchois est épargné et Saint-Lô se rendra dans la nuit du 17 juin 1940. Pendant l'occupation, la statue de la Laitière normande, réalisée par Arthur Le Duc est déboulonnée et fondue pour en faire des canons, malgré une opposition des élus locaux.

    En mars 1943, les Allemands décident de creuser un souterrain sous le rocher. Pour l'heure personne n'est capable de dire quelle aurait été l'utilité de ce souterrain et de celui creusé au même moment sous l'Institut d'Agneaux. Des ouvriers issus du STO seront requis jusqu'en juin 1944. À cette date, le souterrain, en chantier, accueillera les malades de l'hôtel-Dieu situé juste en face et une partie de la population saint-loise. Un soldat allemand est abattu en janvier 1944 et plusieurs Saint-Lois sont arrêtés ; cinéma, théâtre et bars sont fermés, les postes de TSF confisqués et le couvre-feu est avancé à 20 heures.

    Les Américains décidèrent de bombarder la ville, située à un carrefour stratégique mais de relative importance, dans la nuit 6 au 7 juin 1944. Il fallait empêcher les renforts allemands stationnés en Bretagne de pouvoir remonter sur le front. Des tracts d’avertissement largués la veille furent dispersés par le vent sur les communes voisines. De la prison, plus de 200 prisonniers dont 76 patriotes périrent enfermés (de nos jours, seule subsiste la porte de l'édifice). On compte plus d’un millier de morts.

    Alors que le haut commandement avait fixé la prise de la préfecture neuf jours après le débarquement, la bataille des Haies ralentit fortement la progression américaine. De plus, de fortes intempéries qui ont eu lieu autour du 9 juillet transforment les terres en champs boueux.

    La conquête de Saint-Lô fut confiée au XIXe  corps de la première armée américaine, placé sous le commandement du général Corlett. Le 15 juillet 1944, elle regroupe :

     

     

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    • La 29e division placée sur la route de Bayeux, près de Martinville. Elle a à sa tête le général Gehardt.
    • Le 30e division placée sur la route de Périers, près du Mesnil-Durand
    • La 35e division placée sur la route d'Isigny, éprouvant des difficultés à Pont-Hébert

    En face, deux corps d'armée allemande sont sur le front de Saint-Lô : la 352e division d'infanterie commandée par le général Krais et la 3e division du 2e corps de parachutistes commandée par le général Eugen Meindl.

    La 29e division attaqua le secteur Nord-Est de Saint-Lô près de la Madeleine. Un bataillon dirigé par le major Bingham, dit le « bataillon perdu », se retrouvera isolé pendant toute une journée sans munition et avec peu de nourriture. On comptait 25 blessés et seulement trois infirmiers alors que les forces allemandes étaient toute proches. Des avions ont même dû larguer des poches de plasma. La colline de Martinville était quant à elle arrosée continuellement par l'artillerie allemande. Le 17 juillet, le 3e bataillon du major Thomas D. Howie rejoint vers 4h30 le bataillon perdu. Caché sous la végétation, le 3e bataillon avait pour ordre de ne pas riposter aux tirs ennemis et de ne se servir que de la baïonnette. Si la jonction était réussie, un obus de mortier éclata près du Major, le touchant mortellement. La position fut alors lourdement attaquée, empêchant un quelconque mouvement dans la journée.

                                

     

     

     

    Le monument du major Howie

    Le 17 juillet, le capitaine Puntenney demanda l'appui de l'artillerie et de l'aviation pour disperser les troupes allemandes. Les GI, à court de munitions, prirent tout de même le carrefour de la Madeleine grâce à un dépôt de mines, abandonné des Allemands. Le 115e, quant à lui, contourna la Luzerne pour se déployer dans le bas de la vallée de la Dollée. Le 18 juillet, une compagnie du 116e rétablit la jonction avec la position de la Madeleine et les Allemands se replient à l'Ouest vers Rampan. Un groupe d'opération est placé sous la direction du général Norman D. Cota pour former la Task Force C. Vers 15 heures, les blindés longent la route d'Isigny, suivis des rangs de soldats. Ils arrivèrent à Saint-Lô par le quartier de la bascule, près de l'église Sainte-Croix. L'armée se regroupa sur la place du Champ-de-Mars et contrôla les points stratégiques de l'est de Saint-Lô (route de Carentan, route de Torigni, route de Bayeux) vers 18 heures. Surpris par la rapidité, les Allemands n'opposèrent que peu de résistance. Repliée sur le versant d'Agneaux, l'artillerie allemande pilonna les carrefours saint-lois, notamment celui de la Bascule, blessant plusieurs officiers dont le général Cotta. Ainsi, le major Glover S. Johns, commandant le 1er bataillon du 115e décida d'installer le poste de commandement dans le cimetière, dans le sous-sol du caveau funéraire de la famille Blanchet. On déposa la dépouille du major Howie sur les restes du clocher de Sainte-Croix pour rendre hommage à son courage, lui qui s'était promis d'être le premier soldat à entrer dans la ville. Le lendemain, les soldats arpentèrent les rues pour débusquer les tireurs embusqués allemands, qui tentèrent sans succès une contre-attaque dans la nuit de 20. À 4h40, la 29e division laisse la ville au contrôle de la 35e division.

     

     

    Commentaires pris sur wikipédia .

      ohoo, j ai 900 commentaire !

     

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     Bienvenue dans ma ville...

     

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    Coutances est une commune française, située dans le département de la Manche et la région Basse-Normandie. Elle est notamment connue pour sa cathédrale, son festival Jazz sous les pommiers. Coutances est sous-préfecture, le siège de la Cour d'assises de la Manche et celui de l'évêché de Coutances et Avranches. Elle est peuplée de 9 483 habitants (les Coutançais).

     

     

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      C'est une maquette de la Cathédrale

    Coutances est située dans la péninsule du Cotentin, à 12 km de la côte ouest. Le centre de la ville est situé sur un promontoire dont la cathédrale constitue le point culminant. En contrebas coule la Soulles, affluent du fleuve côtier la Sienne. La topographie de la ville lui a parfois valu le surnom de « Tolède du Cotentin ».

     

     

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            La mairie sur la place du Parvis.....

     

     

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            Son jardin public....

     

     

     

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            Une autre vue du jardin public

     

     

    Chef-lieu du peuple celte des Unelles, la ville de Cosedia prit le nom de Constantia en 298 sous Constance Chlore. La région de Constantia, connue sous le nom de pagus Constantinus, est devenue le Cotentin.

    Son premier évêque fut saint Éreptiole.

    La ville est détruite par les Vikings en 866 et il faut attendre le XIe siècle et l'arrivée de l'évêque Geoffroy de Montbray, compagnon de Guillaume le Conquérant, pour la voir véritablement renaître, avec une nouvelle cathédrale et des fondations de communautés religieuses. En 1204, le duché de Normandie est annexé par le roi de France et la cathédrale est reconstruite en style gothique normand, sous l'impulsion de l'évêque Hugues de Morville (1208-1238), fondateur également de l'hôtel-dieu.

     

     

     

      
     
    Coutances en ruines en 1944

     

     

    Pendant les guerres de religion, en 1562, la cathédrale est pillée par les Huguenots. Ils capturent l'évêque Arthus de Cossé et l'obligent, à Saint-Lô, à parcourir la ville à l'envers sur un âne mitré, la queue de l'animal entre les mains.

    Jusqu'en 1569, l'évêque de Coutances exerçait une juridiction sur les îles de la Manche.

    Au début du XVIIIe siècle, le baron Duhamel, maire de la ville et passionné d'urbanisme, fait percer les boulevards qui désengorgent le centre ville et créent d'agréables promenades plantées.

    En 1944, la ville est détruite par un terrible bombardement qui fait plus de 300 morts. Mais la ville, moins atteinte que Saint-Lô, accueillera provisoirement la préfecture de la Manche pendant plusieurs années. L'architecte chargé de la reconstruction, Louis Arretche (qui s'occupe également de Saint-Malo) s'attachera à lui redonner son âme tout en la dotant des équipements modernes.

    En 1965, Coutances (7 806 habitants en 1962) absorbe Saint-Nicolas-de-Coutances (800 habitants)

     

     

     

    LES 800 ANS DE LA CATHEDRALE DE COUTANCES 001

     

    Il y a deux ans que nous avons fêté les 800 ANS de la Cathédrale de Coutances

     

     

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      Vacances dans les Landes 2010 133

     

     

    A quelques kilomètres de Dax,vous trouverez le lieu natal de Saint Vincent de Paul.

     

     

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    La Chapelle:de stysle néo-byzantin,érigée en l'honneur de celui qui a marqué l'Eglise,la France,le monde et qu'on nomme:le Père des pauvres,le grand saint du siècle....

     

    Vincent de Paul ou Vincent Depaul, né au village de Pouy  près de Dax le 24 avril 1581 ou 1576- mort le 27 septembre 1660, est un prêtre catholique français renommé pour sa charité, qu'il exerça notamment auprès des galériens - dont il était aumônier -, des enfants trouvés et des populations rurales. Aumônier de la reine Marguerite, épouse de Henri IV, puis curé de campagne à Clichy, précepteur des enfants du marquis de Belle-Isle, frère de l'archevêque de Paris.

    Il fonde deux sociétés de vie apostolique : la Congrégation de la Mission, dont les membres seront couramment appelés lazaristes et la Compagnie des filles de la Charité, souvent connues comme les Sœurs de Saint Vincent de Paul.

     

     

    Vacances dans les Landes 2010 139

    Ranquines:La maison natale,le lieu-source ou Vincent enfant a découvert et vécu l'amour familial,le sens du service,la valeur du travail et l'amour de Dieu.

     

     

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    Vacances dans les Landes 2010 143

     

     

    Vacances dans les Landes 2010 145

     

     

     

    Vacances dans les Landes 2010 144

     

     

    Ce chêne à plus de 800 ans.....

     

    Vincent de Paul serait né le 24 avril 1581, à Pouy ou le 24 avril 1576 à Tamarite de Litera (Catalogne). Abelly a donné 1576 comme date de naissance, mais la biographie actuelle accepte la date de 1581, laquelle a été proposée vers 1920-1925 par Pedro Costa à Paris.

    Selon la théorie de Pouy, Vicente de Paúl est né dans une petite maison à la périphérie du village de Pouy (qui, depuis le XIXe siècle, est appelé « Saint-Vincent-de-Paul » en son honneur), situé à environ cinq kilomètres de la ville de Dax dans le département des Landes, située au sud-ouest de la France. Le lieu de sa naissance, connu aujourd'hui comme Berceau de Saint Vincent de Paul, est un modeste bâtiment de briques et de poutres de bois très proche de la maison où Vincent est né en avril 1580 ou 1581 (année imprécise). Il n'existe aucun enregistrement de sa naissance puisque les registres des baptèmes n'ont existé qu'à partir de 1648.

    Selon la théorie de Tamarite, les attributifs Paul, et Moras / Mora sont fréquents en Aragon, et les "infanzones" (gentilshommes) d'Aragon utilisaient le "de" dans leurs noms. Il n'existe aucun enregistrement de sa naissance parce que tous les documents ont été brûlés en 1936 pendant la guerre civile espagnole. Le biographe officiel de Luis Abelly s'était rendu à Pouy quatre ans après la mort de Saint-Vincent et n'avait pu trouver aucune information sur les grands-parents ou même leurs prénoms, ce qui suggère qu'ils n'étaient pas de la région, et que les résidents de Pouy avaient décidé de garder le silence sur son origine aragonaise, pour obtenir la gloire d'être le berceau du personnage. Les premières traces de la présence des parents de Vincent à Pouy sont de 1581, soit cinq ans après sa naissance en 1576 selon Abelly. Il ne fait aucun doute que son père est de Tamarite de Litera.À Tamarite il y a une rue dédiée à son nom.

    Il est le troisième d’une fratrie qui comprend quatre garçons et deux filles. Son père Jean de Paul est un petit exploitant agricole, sa mère Bertrande de Moras appartenait en revanche à une famille de la petite noblesse locale.

     

     

    Vacances dans les Landes 2010 148

     

     

                               UNE BERGERIE....

     

    Vincent est amené très tôt à apporter son aide à ses parents qui peinent à nourrir une famille nombreuse. Aussi il passe ses premières années à garder comme berger des moutons, des vaches et des porcs. Il doit quitter toutefois son foyer familial pour Dax où son père l’inscrit au Collège des Cordeliers, tenu par les franciscains. Son père espère ainsi le préparer à obtenir quelques « bons bénéfices » grâce auxquels il pourra compléter les revenus familiaux.

    Il est ordonné prêtre en 1600.

    Vraisemblablement capturé en 1605 par des pirates lors d'un voyage au départ de Marseille vers Narbonne, il s'évade de Tunis après deux années d'emprisonnement, puis devient prêtre de paroisse et précepteur dans la famille de Gondi.

    Il officie plusieurs mois dans la paroisse de Châtillon-sur-Chalaronne, dans la Dombes (département actuel de l'Ain, région Rhône-Alpes), à 18 km d'Ars-sur-Formans, où officiera deux siècles plus tard Saint-Jean-Marie-Vianney, le Curé d'Ars.

    Curé de Clichy en 1617, il fonde, avec les dames aisées de la ville, les Dames de la Charité pour venir en aide aux pauvres mais celles-ci ne faisant pas preuve de suffisamment d'esprit de charité, il propose son projet à des femmes plus humbles mais plus décidées à le soutenir.

    Aumônier général des galères en 1619. Grâce au soutien financier de madame de Gondi, il fonda, en 1625 la Congrégation de la Mission. Vouée à l'évangélisation des pauvres des campagnes, la congrégation prendra le nom de Lazaristes (car demeurant dans le quartier Saint Lazare de Paris, l'enclos Saint-Lazare). Depaul, qui formera de nombreux prêtres, crée un séminaire de la Mission. Les premiers Lazaristes seront envoyés à Madagascar dès 1648.

    Le 29 novembre 1633, il fonde les Gardes des Pauvres, origine de la congrégation des Compagnie des Filles de la Charité sous la responsailité de Louise de Marillac parmi lesquelles Marguerite Naseau. Les Filles de la Charité, aussi appelées "Sœurs de Saint Vincent de Paul", sont vouées au service des malades et au service corporel et spirituel des pauvres ; il en confie la formation à la veuve Le Gras. Cette institution est à l'origine de l'hôpital des Enfants-Trouvés de Paris.

     

    La documentation a été prise sur Wikipédia et les photos sont personnelles.

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