• Les vertus du Thym !!

    Thym : un remède naturel miracle !

     

    Ballonnements, mauvaise haleine, mal de gorge, nez bouché, toux, transpiration… On n’y pense pas toujours mais le thym que nous utilisons en cuisine est aussi une excellente plante médicinale.

    En huile essentielle, en miel ou en tisane, voici comment vous soigner avec !
    Du thym contre les ballonnements
     
    tisane ballonnements digestion thym
    Le thym contient des principes amers reconnus pour faciliter la digestion. En clair, il ne faut pas hésiter à l’utiliser en fin de repas pour éviter les lourdeurs digestives, les ballonnements, les crampes d’estomac et les flatulences en général.
     
    En tisane : Jeter 1 pincée de feuilles de thym séchées dans une tasse puis verser dessus de l’eau bouillante. Couvrir et laisser infuser pendant 5 à 10 minutes. Filtrer et boire une tasse à la fin des deux principaux repas. Ne pas dépasser 3 semaines de prise.
     
     
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  • Jambes lourdes

    Jambes lourdes : 1 femme sur 2 n'ose pas en parler

    Topsante - Lundi 04 février, 16h50
     
     
     
    L'insuffisance veineuse est-elle une maladie taboue ? Selon l'enquête Vein Consult, une femme sur deux n'en parle pas à son médecin.
     
     
    Jambes lourdes : 1 femme sur 2 n'ose pas en parler
     


    Gonflement des pieds et des chevilles, sensation de jambes lourdes, crampes nocturnes, fourmillements : ces symptômes de l'insuffisance veineuse ne vous sont peut-être pas totalement étrangers ? Normal puisqu'en France 22 millions de personnes sont touchées par cette maladie, qui évolue de façon chronique. Pourtant, selon l'enquête Vein Consult, une grande enquête épidémiologique sur la maladie veineuse en France (enquête réalisée auprès de 33500 patients de médecins généralistes), bien que cette maladie altère la vie des personnes qui en souffrent, un patient sur deux n'en parle pas à son médecin. Et lorsqu'ils en parlent enfin, les troubles sont souvent déjà bien installés.Maladie veineuse : première consultation à 47 ansLes signes avant-coureurs de la maladie veineuse ne sont pas assez pris en compte, si bien que les personnes concernées ne consultent pas tout de suite, attitude renforcée par l'idée reçue selon laquelle la maladie veineuse ne concerne que les plus de 50 ans. Ainsi, selon l'étude Vein Consult, l'âge moyen de la première consultation est de 47 ans et lorsque la maladie est déjà bien installée. « Or, si elle n'est pas prise en charge de manière adéquate, la maladie veineuse risque d'évoluer au fil des années et d'engendrer des complications comme des oedèmes ou des phlébites . La conclusion de cette enquête est que la maladie veineuse souffre d'un manque de considération de la population : certains la sous-estiment. D'autres la considèrent comme une maladie de confort dont il est inutile de parler au médecin. Or, selon les symptômes et le degré d'évolution de la maladie, des solutions existent : médicaments veinotoniques, bas de contention, sclérothérapie ... Plus la prise en charge est précoce, plus on évite l'aggravation de la maladie. Donc, si vous avez les jambes qui gonflent ou des crampes nocturnes, n'hésitez-pas à en parler à votre médecin ! 
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    ©AFP / Joel Saget
     
    Boire du thé vert ou noir tous les jours a un effet protecteur contre les maladies cardiovasculaires en raison de sa forte teneur en flavonoïdes, selon des travaux présentés vendredi devant un congrès de cardiologie.
    "Il faut trois tasses par jour pour que ce soit efficace" a précisé Anne-Marie Roussel, professeur de biochimie à l'Université Joseph Fourier à Grenoble, pendant les Journées européennes de la Société française de cardiologie qui se tient à Paris jusqu'à samedi.
    Selon diverses études internationales parues ces dernières années, le thé pourrait jouer un rôle dans la prévention du diabète et de l'obésité mais permettrait également de diminuer le risque de développer diverses pathologies cardio-vasculaires.
    Au moins deux études font état d'une diminution des accidents vasculaires cérébraux (AVC) allant de 13 à 23% chez les buveurs de thé réguliers.
    Mais alors qu'il s'agissait quasi exclusivement d'études épidémiologiques, des chercheurs travaillent désormais sur les mécanismes d'action des flavonoïdes contenus dans le thé.
    Parmi ceux-ci figurent notamment l'effet vasodilatateur "qui est au cœur de la protection cardiovasculaire et aujourd'hui mesurable en clinique", selon Mme Roussel.
    Elle cite également la modification du métabolisme de l'endothélium, le tissu qui forme le revêtement interne des vaisseaux sanguins.
    Un dysfonctionnement de la fonction endothéliale est la première étape d'un processus pouvant menant à un accident cardiovasculaire, a expliqué pour sa part le Pr Eric Bruckert, chef du service d'endocrinologie et de prévention des maladies cardiovasculaires à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris.
    Grâce à la mesure de la fonction endothéliale, des chercheurs ont pu montrer que certains aliments permettaient une amélioration de cette fonction. "Pour les fruits, les légumes et le poisson, les effets sont faibles, l'amélioration est plus significative pour le cacao ou le vin, mais c'est le thé qui entraine l'amélioration la plus importante" résume le Pr Bruckert.
    D'après les études, le thé serait également capable de réduire le taux de cholestérol et de triglycérides (un autre type de lipide) dans le sang et d'agir sur "la résistance à l'insuline" (qui se traduit par une moins bonne utilisation du sucre par l'organisme et joue un rôle dans l'apparition du diabète de type 2).
    Mais pas question d'ajouter du sucre ou du lait dans son thé, ce qui risque d'effacer ou de diminuer fortement son effet bénéfique, prévient Mme Roussel.
    Quant aux femmes enceintes, elles ne devraient pas dépasser trois tasses par jour car le thé "à très haute dose, chez certains sujets", est susceptible d'entraver l'absorption du fer dans l'organisme. "Par précaution et par bon sens, il est inutile de boire un litre de thé par jour", ajoute-t-elle
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    Aluminium : un poison dans notre maison !

     

    Aluminium dans les médicaments : des lésions du côlon
      
      
    aluminium médicament antiacides côlon
     
     
     
    « La consommation d’anti-acides (médicaments contenant de l’aluminium) peut entraîner des inflammations intestinales comme l’a montré une étude en 2010* réalisée par des chercheurs de Lille. Ils ont conclu que l'aluminium pourrait favoriser le déclenchement et l'entretien de l'inflammation intestinale chez les patients atteints de maladies inflammatoires chroniques intestinales** », indique le Dr Souvet.
    Exemples de médicaments à risque : Phosphalugel® (phosphate d'aluminium), Rocgel® (Oxyde d'aluminium hydraté), Maalox® (hydroxyde d'aluminium), Gélusil® (hydoxyde d'aluminium).
     
    * Etude L’aluminium : implication d’un facteur environnemental dans la physiopathologie des maladies inflammatoires intestinales, 2010 - G. Pineton de Chambrun, C. Vignal, M. Body-Malapel, M. Djouina, F. Altare, A. Cortot, J.-F. Colombel, C. Neut, P. Desreumaux,
    ** comme la recto-colite hémorragique, maladie de Crohn
     

    Considéré comme inoffensif, l’aluminium s’est imposé dans tous nos produits de consommation (aliments, médicaments, cosmétiques...).

    Or, de plus en plus d'études démontrent qu'il serait responsable de cancers, de maladie d'Alzheimer, de Parkinson... Réponses avec le Dr Pierre Souvet, Président de l'Association santé environnement France.

     
    Aluminium dans l'eau : une augmentation de cas d'Alzheimer
     
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    En 2000, l'étude PAQUID* a montré que le risque de contracter la maladie d'Alzheimer est 1,99 fois plus élevé dans les régions où l'eau est riche en aluminium (plus de 0,1mg/litre). Or, en France, la norme est de 0,2mg/litre d'eau potable, soit le double !
    D'où ça vient : Il est ajouté du sulfate d'aluminium dans le traitement de l'eau potable pour la rendre transparente.
    En quoi est-il nocif : L'aluminium se fixe sur les tissus cérébraux**, accélère leur vieillissement et détruit le système nerveux. « C'est un neurotoxique avéré. Il passe dans le sang, se fixe dans le cerveau et y reste. A force d'en absorber, cela entraîne des troubles neurologiques », explique le Dr Souvet.
    Des solutions : A Paris, l'aluminium a été remplacé par du chlorure ferrique, une substance inoffensive.
     
    * Etude menée par l'Inserm, réalisée dans les départements de la Gironde et de la Dordogne
    ** On a découvert depuis 1976 que l'aluminium pouvait entraîner une forme de maladie neurologique chez certains insuffisants rénaux effectuant régulièrement des dialyses. Lors de ces traitements, l'aluminium présent dans l'eau du liquide de dialyse passait directement dans le sang, et le cerveau. Les personnes atteintes souffraient de troubles de langage, de troubles moteurs, de convulsions... Depuis, de nombreuses autres études ont montré la nocivité de l'aluminium sur le cerveau.
     
     
    Aluminium dans les vaccins : des effets néfastes sur les muscles
     
     
     
    aluminium vaccin muscles
    « On soupçonne les vaccins avec des adjuvants à l'aluminium dans le processus de la myofasciite à macrophages », explique le Dr Souvet. C'est quoi ? C'est une maladie grave dégénérative qui a été identifiée la première fois en 1993. Elle se caractérise par de micro-lésions dans les muscles qui provoqueraient des douleurs musculaires et articulaires, une importante faiblesse musculaire, une fatigue chronique... Suite à l'injection de plusieurs vaccins aluminiques, les muscles auraient une réaction inhabituelle.
    A savoir : En France, on compte 31 vaccins contenant de l'aluminium, soit 47% des vaccins commercialisés. Il existe donc des vaccins sans aluminium
     
    Aluminium : des risques de maladie de Parkinson
     
     
     
    parkinson aluminium
    De la même manière que l'aluminium a une incidence sur la maladie d'Alzheimer, il en a une sur la maladie de Parkinson, en touchant directement le cerveau.
    En quoi est-il nocif :« L’aluminium est un neurotoxique, c’est-à-dire qu’il affecte le système nerveux central. L’Inserm a montré que l’aluminium et le fer sont retrouvés en quantité anormalement élevée dans le cerveau, dans les corps de Lewy (nom des lésions dans les cellules nerveuses cérébrales). C'est la présence de ces lésions qui confirment le diagnostic de la maladie de Parkinson. Il n’est cependant aujourd'hui pas démontré que la présence d’aluminium dans le cerveau provoque l’apparition de la maladie », explique le Dr Souvet
     
    Que faire pour se préserver d'un excès d'aluminium ?
     
     
     
    aluminium protéger lire les étiquettes
    - Préparer soi-même ses repas.
    - Lire les étiquettes : pour savoir si le produit que vous achetez contient de l'aluminium, référez-vous aux additifs mentionnés sur l'étiquette. Les E173 (colorant alimentaire), E520-E521-E522-E523 (fruits et légumes confits, blanc d'oeuf entrant dans les préparations culinaires...), E554-E555-E556-E559 (lait en poudre, sel, sucre, cacao, certains fromages, riz, saucisses et saucissons...), E541 (produits de boulangerie, biscuits...) sont des composés d'aluminium.
    - Utiliser des déodorants sans alcool, sans aluminium chlorohydarte. Attention à la pierre d'alun, qui se trouve être de l'aluminium.
    - Rendez-vous sur le site www.sante.gouv.fr/eau-potable.html qui vous donne la teneur en aluminium de l'eau de votre commune.
      
      
      
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     Pesticides et eau du robinet incriminés ?

     
    Par Futura-Sciences - Hier, 10h00 
     
    Allergies alimentaires : pesticides et eau du robinet incriminés ?

     

    Alors que l’on constate une augmentation des cas d’allergies alimentaires, des chercheurs américains suggèrent que les dichlorophénols utilisés dans des pesticides aussi bien que dans les produits pour aseptiser l’eau du robinet pourraient être en partie responsables. Faut-il donner de l’eau en bouteille à nos enfants ?
    • Un dossier pour tout savoir sur les allergies
    Ni virus, ni bactérie, ni autre pathogène… Pourtant, malgré l’absence de vecteurs directs de maladie, le monde occidental est en proie à une épidémie d’allergies. Par exemple, aux États-Unis, entre 1997 et 2007, l’incidence des allergies alimentaires a augmenté de 18 %. La faute, selon les tenants de l’hypothèse hygiéniste, à une aseptisation du milieu.
    Selon la théorie dominante, les jeunes enfants doivent être confrontés aux micro-organismes pour optimiser leur système immunitaire. Face à la recrudescence de l’utilisation d’antibiotiques lors des dernières décennies, le paysage microbien a été bouleversé. Les défenses de l'organisme sont perturbées et deviennent alors ultrasensibles à des éléments pourtant inoffensifs, comme les pollens, les acariens, le lait ou les cacahuètes. C’est l’allergie.
    Les dichlorophénols favoriseraient les allergies alimentaires
    Si les antibiotiques sont pointés du doigt, ils pourraient ne pas être les seuls responsables. Des chercheurs de l’Albert Einstein College of Medicine soupçonnent également des polluants courants, nommés dichlorophénols, de contribuer au phénomène.
    Il n'existe pas de norme pour les taux de dichlorophénols dans l'eau du robinet, car les études portant sur leur toxicité sont très limitées.
    Il n'existe pas de norme pour les taux de dichlorophénols dans l'eau du robinet, car les études portant sur leur toxicité sont très limitées. © Doktora, StockFreeImages.com
    Fréquemment utilisés par les agriculteurs pour leurs propriétés antiseptiques, mais aussi par les particuliers pour se débarrasser chez eux de certains insectes ou des mauvaises herbes, ces produits dérivés de la chlorine sont également utilisés dans l’eau potable dans le but de la purifier. Ainsi, ils sont ingérés et peuvent être mesurés dans nos organismes.
    Les allergies environnementales favorisées par les dichlorophénols
    Dans la revue Annals of Allergy, Asthma and Immunology, les auteurs expliquent avoir recruté 2.211 personnes de 6 ans et plus, des participants à la cohorte de l’US National Health and Nutrition Examination Survey pour la période 2005-2006. Tous présentaient des taux de dichlorophénols dans leurs urines.
    Parmi eux, 411 présentaient une allergie alimentaire à au moins un aliment et 1.016 étaient allergiques à un élément environnemental. Mais les individus présentant les concentrations les plus élevées de dichlorophénols étaient les plus sujets aux allergies. Leur risque de ne pas supporter un aliment était augmenté de 80 %, et la probabilité de présenter les deux types d’allergies était supérieure de 61 % par rapport aux personnes avec les taux les plus bas.
    Faut-il cesser de boire l’eau du robinet ?
    Pour les auteurs, de tels résultats suggèrent un lien entre les molécules chlorées et la pathologie auto-immune. Mais il est encore trop tôt pour affirmer que la corrélation existe effectivement. C’est pourquoi les chercheurs plaident pour de nouvelles études approfondies sur la question.
    Cependant, ce travail soulève quelques interrogations. Si l’eau du robinet contient des dichlorophénols, doit-on s’en détourner ? Le problème est complexe. Les bouteilles en plastique sont elles-mêmes constituées de polluants tels que le bisphénol A, qui sont en partie avalés en même temps que l’eau, et dont les conséquences pourraient être bien pires. D’autre part, pour Elina Jerschow, qui a participé à ce travail, les taux retrouvés dans les fruits et les légumes traités par les pesticides sont nettement plus élevés et constituent les principales sources de dichlorophénols. Il faudrait donc plutôt agir à ce niveau…
    Par Janlou Chaput, Futura-Sciences
     
     
    Allergies alimentaires !!!
     
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