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    Un propriétaire a créé un dialogue très réaliste entre lui et son chien. L'animal est totalement lorsque son maître lui parle de nourriture, et semble même lui répondre.

    Ce chien adore la nourriture, il suffit de voir la déception qui se lit sur sa face à chaque fois que son maître lui apprend qu'il ne fera pas partie du festin. Son propriétaire commence par lui dire ce qu'il y avait dans le réfrigérateur. Il s'en suit alors une série de descriptions pour lui mettre l'eau à la bouche. Lorsque l'attention du chien est totale, son maître finit par lui apprendre qu'il a mangé la nourriture en question.

    Les expressions du chien sont très claires: il ne fait aucun doute qu'il aurait préféré déguster ces plats avec son maître. Le chien perd tout espoir il sait que le plat n'est plus. Il semble même dire "Ohh nonnn!". C'est ce qui a poussé son maître à rajouter une seconde voix sur la vidéo faisant ainsi croire qu'il s'agit des répliques de l'animal. On a alors droit à une drôle de discussion entre un maître et son chien, principalement basée sur... la nourriture !

     

     

     

    Regardez ce chien parler de nourriture!

         
           
     

    Lorsqu'on parle de nourriture à ce chien, il reste à l'écoute et est rempli de déception quand on lui dit qu'il ne fera pas partie du festin.

    Quand son propriétaire lui parle de nourriture, ce chien semble très vif d'esprit. Son maître commence par lui décrire la nourriture, l'animal est tout de suite captivé. A chaque fois que son maître lui dit qu'il l'a mangé, la déception du chien est visible. Son maître a alors eu l'idée de mettre des mots sur les expressions du chien.

     

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     Photos prises sur le net !!!

         


    CARACTERISTIQUES GENERALES

    Le berger allemand appartient au premier groupe des races de chiens.

    Il est considéré avant tout comme un chien d'utilité.

    La hauteur idéale doit être comprise entre 60 et 65 cm au garrot pour les mâles et entre 55 et 60 cm pour les femelles.

    Le poids du chien doit être d'environ 32 kg.

    Il doit avoir une silhouette légèrement allongée, la musculature doit être robuste.
    L'ossature doit être solide, le chien doit dégager une impression de puissance et d'élégance.

    La tête doit être proportionnée au corps, la mâchoire est puissante, les yeux en amande doivent être vifs et de couleur sombre.

    Les oreilles sont larges à la base, elles doivent être orientées vers l'avant.
    Elles restent tombantes chez le chiot jusqu'à l'âge de 4 ou 6 mois, elles se redressent ensuite.

    La robe s'est peu à peu uniformisée tant au niveau de la couleur qu'au niveau de longueur et de la texture du poil.
    En matière de couleur, les robes totalement noire, blanche ou grise ne sont pas admises.
    Le chien doit être fauve avec un manteau noir, l'étendue du manteau est variable.
    Il existe trois variétés de poils: courts, mi-longs et longs, le poil court est de loin le plus répandu.


    PERSONNALITE ET CONSEILS D'EDUCATION


    Le berger allemand est un chien vif, gai, obéissant, équilibré, loyal et affectueux envers ses maîtres.

    C'est un chien fait pour obéir qui réclame un maître qui se comporte comme un chef de meute, inflexible et juste.

    Il est tolérant avec les autres animaux et présente des aptitudes particulièrement bonnes au dressage.
    Ce sont ses aptitudes qui l'ont rendu tour à tour chien de guerre (porteur de messages), chien de sauvetage, chien policier et aussi chien guide d'aveugle.

    Le berger allemand est le plus souvent doux et patient avec les enfants, envers lesquels il se montre très protecteur.

    Le berger allemand est également très bon gardien.

    C'est aussi un chien sportif qui a besoin de se dépenser.
    Il peut vivre très bien en ville ou en appartement à condition de lui consacrer du temps pour accomplir au moins deux promenades quotidiennes.

    Lors du choix du chiot dans une portée, il ne faudra pas prendre le chiot le plus excité ou le plus peureux car il risque, tôt ou tard, de devenir agressif.

     

     

    PREDISPOSITIONS A CERTAINES MALADIES


    Il y a quelques années, le berger allemand était très à la mode.
    Ceci a conduit des éleveurs peu scrupuleux à faire beaucoup reproduire la race sans se soucier de la qualité des chiens, ce qui a pour conséquence une augmentation des anomalies génétiques.

    Il faut donc savoir que le berger allemand peut être prédisposé à des problèmes osseux et articulaires comme la dysplasie de la hanche ou du coude par exemple. Il faudra faire attention lors du choix du chiot à ce que ses parents soient indemnes de ces affections.

    Le berger allemand est également prédisposé à une affection oculaire appelée kérato-conjonctivite sèche.

    Comme tous les chiens de grande race, le berger allemand peut faire une dilatation-torsion de l'estomac. Pour prévenir ce risque, il faut que le chien ne fasse pas d'exercice après son repas. Il faut aussi éviter de lui donner des os de carcasses de poulet.


    ALIMENTATION


    Le berger allemand a besoin d'une alimentation adaptée aussi bien pendant la croissance que pendant sa vie d'adulte.
    En page d'accueil de notre Boutique Chiens, vous pouvez utiliser les recommandations de nos vétérinaires nutritionnistes en fonction de l'âge, de la taille et du niveau d'activité de votre berger allemand.


    CONSEILS UTILES


    On conseillera ce chien à des maîtres sachant se faire respecter afin qu'il soit bien dressé et qu'il ne se comporte pas comme le chef de meute. Il s'adapte très bien à toutes les conditions de vie et fera le bonheur de ses maîtres.

     

     

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  • r2jx9fdh

     

      dysplasie de la hanche


    Le fémur possède une tête qui s'emboîte dans la cavité glénoïde du bassin.

    Elle y est maintenue grâce à une capsule fibreuse tout autour de l'articulation, par les muscles de la région (les fessiers entre autres) et par un ligament dit ligament de la tête, qui la fixe au fond de la cavité glénoïde.

    Lors de dysplasie de la hanche, il existe une laxité excessive du ligament de la tête, et celle-ci se « promène » alors anormalement dans sa cavité. A plus ou moins long terme, ce mal-fonctionnement va déboucher sur l'apparition progressive d'arthrose, et d'une déformation de la cavité.


    Importance de la maladie


    Elle est rencontrée chez de nombreuses races de chien qu'on ne pourra pas toutes citer: ce sont principalement des chiens de races moyenne et grande. Parmi les plus fréquentes, on peut citer: les retrievers (labradors et goldens), la plupart des bouviers et bergers, le chow-chow, le rottweiler, le terre-neuve, le staffordshire terrier, le bull-mastiff… Jusqu'à 20% et plus des chiens de certaines races sont atteints.

    S'il ne fait aucun doute que la transmission est héréditaire, les facteurs d'élevage sont également important dans l'apparition de la maladie: une alimentation de bonne qualité, bien équilibrée, en minéraux en particulier (calcium et phosphore), est importante lors de la croissance de ces chiens de grand format. De même qu'un excès d'exercice et des traumatismes articulaires chez des jeunes chiots peuvent favoriser l'apparition de troubles de la croissance tels que la dysplasie de la hanche.

    Le mode de transmission génétique de la maladie est complexe et il est difficile de dépister la maladie de bonne heure. L'éradication du problème demande donc beaucoup de temps et d'effort de la part des éleveurs et de la société centrale canine (SCC).


    Les signes de la maladie

    Il est difficile de dépister les premiers signes de la maladie.

    Chez les jeunes chiots, on pourra d'abord remarquer une démarche bizarre, chaloupée (le chien dandine du train arrière). Toutefois, de nombreux chiots présentent cette démarche, qui ne présume pas d'une quelconque évolution vers un problème grave. Les premières douleurs peuvent apparaître vers l'âge de 6 à 8 mois, mais elles peuvent également passer inaperçues et se résoudre rapidement.

    Les signes d'appel sont ensuite ceux dûs au développement plus ou moins précoce d'arthrose. Le chien présente une boiterie, principalement à froid, c'est-à-dire le matin ou après être resté longtemps couché. Les signes et le développement de l'arthrose sont toutefois très variables d'un chien à l'autre: certains chiens présentant une dysplasie très importante (grande laxité articulaire) ne développeront pas d'arthrose avant cinq ou six ans, alors que d'autres présentant un léger défaut seront atteints très tôt et de façon intense.


    Le diagnostic


    Le vétérinaire peut suspecter cette maladie chez un chien par un examen rapproché des membres. Le diagnostic de certitude est posé grâce à la radiographie. Cette radiographie est réalisée après l'âge de un an 18 mois chez les races géantes comme le dogue allemand), car avant, on risque de ne pas détecter la maladie.

    Le chien est alors classé parmi les cinq catégories, allant de A à E, A étant l'absence de dysplasie et E la forme la plus avancée (la tête du fémur est alors complètement luxée). De nombreux clubs de races pratiquent un dépistage systématique de cette affection par des radiographies précoces.


    Le traitement


    Comme nous l'avons dit plus haut, les signes de la maladies sont liés à l'apparition d'arthrose, qui entraîne une douleur de l'articulation.
    Le traitement peut être médical ou chirurgical.
    • Le traitement médical consiste en l'administration d'anti-inflammatoires qui soulagent la douleur. Il existe également aujourd'hui de nombreux traitements dits chondro-protecteurs, sous forme d'injections ou de comprimés et granulés, qui se font par cure, et permettent de ralentir l'évolution de l'arthrose et de réduire également la douleur, en synergie avec les anti-inflammatoires.
    • Les traitements chirurgicaux sont nombreux, et leur choix doit être fait pour chaque chien, en fonction de l'individu, de son état de santé et de l'étendu de son problème. Présentation :
      • La Résection de la Tête et du Col du Fémur ou RTCF: le vétérinaire retire la tête et le col du fémur. L'articulation de la hanche n'existe alors plus, et le membre est maintenu en place par les muscles. Cette intervention est très répandue et ne pose pas de problèmes par la suite; le chien retrouve une bonne mobilité. Elle doit être pratiquée chez des animaux pas trop lourds et bien musclés (fessiers). On peut opérer la deuxième hanche si besoin, quand la récupération est bonne sur l'autre côté.
      • La Triple Ostéotomie du Bassin ou TOB: le vétérinaire découpe les os du bassin afin de remettre en place la tête du fémur dans sa cavité d'accueil (cavité glénoïde du bassin). Cette opération permet de recréer une articulation correcte. Elle ne supprimera pas l'arthrose, et ne doit donc être pratiquée que pour des animaux qui en sont exempts.
      • La prothèse de hanche: c'est une intervention encore peu pratiquée par les vétérinaires étant donné son coût élevé. C'est évidemment la solution idéale puisqu'on recréer une articulation parfaite de la hanche. La récupération est immédiate et les soins post-opératoires limités.
      • La myotomie des pectinés: les pectinés sont des petits muscles en forme de poire situé dans l'angle interne de la cuisse, au niveau de l'aine. Ces muscles sont parfois contracturés en permanence durant l'évolution de la maladie, car ils sont très sollicités. Il convient donc, dans certains cas, de les couper afin de soulager l'animal.
      • La dénervation de la capsule articulaire: elle consiste à supprimer toutes les efférences nerveuses sensitives provenant de la capsule articulaire. L'articulation perd alors toute sa sensibilité et le chien ne ressent donc plus la douleur due à l'arthrose. Cette technique, bien rodée par nos voisins allemands, est encore à l'étude en France.

    Les recours légaux


    La dysplasie de la hanche est inscrite sur la liste des vices rédhibitoires du chien (voir la Fiche Santé sur «Les vices rédhibitoires du chien» ). Cette inscription permet à l'acheteur de se faire rembourser intégralement le chien s'il a été vendu avec ce vice caché. Toutefois, en aucun cas le vendeur n'est tenu de rembourser les frais de traitement occasionnés par la maladie s'ils ont été pratiqués sans son accord.

    De plus, le délai légal pour assigner le vendeur en justice, au tribunal d'instance, est de trente jours francs après livraison de l'animal. Etant donné l'âge d'achat d'un animal (deux mois environ) et le développement souvent tardif des signes de la maladie, il est rare de pouvoir intenter une action en justice pour ce motif. Les seuls recours légaux passés ce délai d'un mois sont en théorie la nullité de vente fondée soit sur une erreur de la qualité substantielle de l'animal acheté (le chien ne correspond pas à l'utilisation qu'on voulait en faire, si tant est qu'elle ait été précisée lors de l'achat), soit sur le dol (vente d'un objet présentant un défaut en toute connaissance de cause : encore faut-il le prouver !).

    Dans tous les cas, l'idéal est de parvenir à un accord amiable en contactant l'éleveur. D'autant que tout ce que vous pouvez obtenir légalement en ayant recours à ces différentes actions en justice est le remboursement du chien, en échange de sa restitution; et il n'est pas facile de rendre un animal avec lequel on vit depuis parfois longtemps. Par ailleurs, les éleveurs font beaucoup d'efforts aujourd'hui pour lutter contre cette maladie qui touche de plus en plus de race et d'individus parmi ces races. Ils sont donc très attentifs et intéressés par le devenir de leurs animaux et la qualité de leurs reproducteurs vis-à-vis de ce vice.


    Conclusion


    La dysplasie de la hanche est une maladie très répandue chez de nombreuses races de chien. Elle est héréditaire, mais son mode de transmission très complexe ne permet pas de l'éradiquer facilement malgré les efforts des cynophiles. De plus, il est clair que des facteurs d'environnement et d'alimentation interviennent dans le développement de ce trouble, comme pour la plupart des troubles de la croissance chez les chiens de grande race.

    Les symptômes qu'elle entraîne sont liés à l'apparition d'arthrose plus ou moins importante et précoce. Il existe plusieurs possibilités thérapeutiques qui doivent être discutées avec votre vétérinaire.

     

     

    saint germain sur ay 013

     

    J'espère que ces petits conseils vous auront  rendu service !!!  Pour ma part je m'en vais en week-end  avec mes maîtres !!!

     

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    Berger de Brie ou Briard



    Barbu et moustachu, ses yeux foncés souvent cachés par de grandes mèches, le Briard est un chien solide et rustique, sous sa longue robe volumineuse qui rappelle celle de la chèvre. Il est difficile de résister à la séduction de son regard intelligent et tendre, à sa gaieté, à son aspect rassurant de "gros ours " débonnaire.

    Sa vivacité, sa mobilité en faisaient autrefois, du temps où existaient encore les grands troupeaux, un gardien efficace, sachant faire preuve de calme, d'autorité, d'initiative. Il suffisait de deux ou trois Briards pour surveiller six à sept cents moutons, sans qu'ils aient besoin de mordre les bêtes à l'esprit parfois vagabond et sans même le secours du berger. Coureur de fond, capable de parcourir quatre-vingts kilomètres dans sa journée, c'est un véritable plaisir que de voir trotter, courir, virer, galoper à longues foulées souples un Briard mèches au vent, lâché à travers la plaine.

    Doté d'une excellente mémoire auditive et visuelle, s'il ne "travaille" plus guère aujourd'hui comme chien de troupeaux, le Briard est employé comme chien guide d'aveugle, pisteur, chien d'avalanche ou gardien. On obtient tout de lui par l'affection, car ce grand chien est un hypersensible, susceptible même, qui porte à son maître un amour exclusif. Tout dressage par la force le rend peureux et inapte à obéir. Il a horreur de la solitude et de la contrainte, risque de devenir agressif si on l'attache. Lorsqu'il est heureux, il se montre particulièrement vigilant et très doux avec les enfants.


    Historique de la race



    Le Briard est sûrement d'origine ancienne, car dans son Traité de la chasse, Gaston Phébus décrit au XIVe s. un chien à robe blanche qui lui ressemble fort. Un siècle plus tard, deux Briards sont représentés sur la toile d'Andréa Mantegna, le Martyre de saint Sébastien. Il est probable qu'au cours des siècles des croisements ont modifié l'aspect du Briard.

    Au siècle dernier, le Beauceron et le Briard, respectivement à poil court et à poil long, étaient confondus en une même race sous le nom de "Chien de plaine". En 1809, l'abbé Bozier, dans son cours d'agriculture, distingue pour la première fois ces deux races de Bergers français. Ces chiens d'utilité figurèrent à l'exposition canine de Paris en 1863. C'est en 1888 que le cynologue Pierre Mégnin différencie nettement le Briard du Beauceron, et c'est en 1896 que les deux races sont officiellement reconnues.


    Caractéristiques



    Aspect général : chien rustique, bien proportionné, souple et musclé. Allure vive et éveillée.

    Taille : de 62 à 68 cm pour le mâle ; de 56 à 64 cm pour la femelle.

    Poids : de 25 à 30 kg environ.

    Tête : forte, assez longue, stop marqué. Longs poils formant barbe et moustaches. Sourcils voilant légèrement les yeux. Museau ni étroit ni pointu. Dents fortes et blanches. Truffe noire.

    Yeux : horizontaux, bien ouverts, plutôt grands, de couleur foncée.

    Oreilles : attachées haut, de préférence coupées et portées droites.

    Cou : musclé, dégagé des épaules.

    Corps : poitrine large et profonde. Dos droit. Croupe peu inclinée.

    Queue : portée bas, bien garnie, formant crochet à son extrémité.

    Membres : bien musclés avec forte ossature et aplombs réguliers.

    Pieds : ronds et forts. Soles dures. Doigts serrés.

    Robe : poil long et sec dit "de chèvre". Couleur : toutes les couleurs uniformes sont admises sauf le blanc. Les couleurs foncées sont recommandées.

    Eliminatoires : absence d'ergot. Queue non venue ou coupée. Truffe claire. Œil vairon. Poil frisé. Robe danoisée. Poil blanc au bout des pattes. Tête ou pattes recouvertes de poils courts.

    Renseignements pratiques



    Le Briard est un chien solide, qui peut vivre en appartement à condition qu'on lui ménage suffisamment de moments de détente en plein air. Son poil, pourvu d'un abondant sous-poil, ne retient ni la boue ni l'humidité, et quand il vit en plein air on ne le lave jamais. Par contre, quand il vit en appartement, il faut le brosser régulièrement pour retirer le sous-poil mort qui a tendance à former de la bourre et le laver de temps en temps. Quelques sujets sont sensibles à l'eczéma et au catharre auriculaire.

    La coupe des oreilles



    Pour répondre aux exigences du standard de la race, les oreilles du Briard doivent être coupées. Bien que les oreilles entières soient tolérées, elles sont passibles de la part d'un juge d'un point de pénalisation. Certains voient dans cette opération une pratique aussi cruelle qu'inutile, d'autres considèrent qu'elle est une nécessité pour l'hygiène et l'esthétique.

    En fait, il s'agit plutôt de perpétuer une très ancienne tradition. Autrefois, on coupait les oreilles des chiens de troupeaux afin qu'elles offrent le moins de prise possible au cours des batailles que se livraient les chiens entre eux ou lorsque, défendant leur troupeau, ils n'hésitaient pas à se mesurer aux loups.

    Si l'argument esthétique est peu convaincant — le Briard est tout aussi sympathique et agréable à regarder avec ses oreilles entières—, certains prétendent que cette coupe se justifie sur le plan de l'hygiène et permet d'éviter les otites, la pénétration des épillets (inflorescence des graminées) et autres corps étrangers en aérant un conduit très encombré de poils.

    L'âge optimal pour cette intervention se situe entre trois et quatre mois, dès que le chiot peut subir sans dommage une anesthésie générale. Cette coupe ne doit pas donner à l'oreille une forme effilée comme chez la plupart des chiens mais un aspect presque circulaire. Cette coupe est dite en coquille. On procède à la coupe elle-même après avoir tondu les grands poils qui garnissent l'oreille. Une fois amputée, l'oreille doit avoir une longueur voisine de celle du chanfrein.


      Commentaires et images prises sur le net :

     

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     011

     

     

    Bonjour les aminautes, voiçi encore des petits conseils .

     

     

    L'anatomie de la rotule

    La rotule est un os ayant la forme d'un triangle dont la pointe est dirigée vers le tibia. Elle permet les mouvements de flexion-extension (replier et étendre la jambe) du genou. La rotule s'articule en arrière avec l'extrémité inférieure du fémur appelée la trochlée, donnant ainsi l'articulation fémoro-patellaire (la rotule est appelée patella en latin). Le ligament patellaire est un ligament très fort qui va de la rotule au tibia.



    Qu'est-ce-que la luxation de la rotule ?


    La luxation de la rotule est un problème qui entraîne une boiterie car lorsque les chiens sont atteints de ce problème, la rotule sort de la trochlée fémorale, le membre reste alors en flexion et le chien boitille.  Les différents types de luxation :

    • La luxation congénitale de la rotule est très fréquente, elle est due au fait que la trochlée est peu creusée chez les animaux atteints. Elle apparaît entre 3 et 9 mois. Elle atteint surtout les petits chiens (Caniches, Bichons, Yorkshires...). On peut aussi la trouver chez des chiens de race géante (luxation latérale seulement).
    • Il existe aussi des luxations d'origine traumatique, c'est-à-dire dues à un accident ou à un traumatisme qui a lieu au niveau du genou du chien. Ce type de luxation est assez fréquent : il peut par exemple arriver lorsque le chien court comme un fou et tourne ou freine brutalement.
    • Enfin, la luxation de la rotule peut être due à des anomalies d'aplomb des os de la cuisse et de la jambe.

    Les symptômes


    L'animal boite alors de façon partielle (avec toujours un appui de la patte sur le sol) ou totale (il ne pose plus la patte). Il arrive que le problème atteigne les deux membres à la fois (en cas d'origine congénitale). Parfois, on voit le chien boitiller pendant quelques instants puis la rotule se remet en place et le chien cesse de boiter. Dans ce cas, l'intervention chirurgicale n'est pas indispensable. A l'examen clinique, une simple manipulation permet au vétérinaire de déplacer anormalement la rotule et donc de repérer la luxation.


    Les possibilités de traitement


    Le traitement de la luxation de la rotule peut être soit conservateur (sans chirurgie) soit chirurgical.

    a. Le traitement conservateur consiste en une mise au repos du chien. On le conseille lorsque la luxation se remet d'elle-même. Cependant, même dans ce cas, deux complications peuvent apparaître : l'apparition d'arthrose et la rupture des ligaments croisés. Pour éviter ce genre de complications, on peut effectuer un traitement chirurgical qui consiste à remettre en tension la capsule articulaire de la rotule afin que celle-ci se stabilise.

    b. Dans le cas où la luxation est plus grave, l'intervention devient nécessaire. Il existe plusieurs possibilités de traitement chirurgical suivant le stade de la luxation. La chirurgie consiste à stabiliser l'articulation de la rotule de diverses manières :
    • par un simple creusement de la trochlée fémorale afin que la rotule s'emboîte mieux dedans et que l'articulation soit plus stable.
    • par un creusement de la trochlée auquel on associe une transposition de muscles : ceci consiste à prendre un morceau de muscle et à le fixer au niveau de l'articulation pour la stabiliser.
    • par un creusement de la trochlée auquel on associe une transposition de la crête tibiale cette fois. Ceci consiste à prendre cette fois un morceau d'os du tibia pour stabiliser l'articulation.

    Après l'opération


    Le succès du traitement ne dépend pas que de l'opération mais aussi du chien qui doit être calme et ne pas forcer sur l'articulation pendant la cicatrisation. Il faut effectivement insister sur le fait que le chien doit être très calme après l'opération. Il ne doit pas faire trop d'efforts physiques et le mieux au début est de ne le sortir qu'en laisse juste pour faire ses besoins. Il faut empêcher le chien de sauter et de faire la fête afin que la luxation ne réapparaisse pas.

    Au bout de quelques semaines, le chien peut être un peu plus libre de ses mouvements mais il faudra veiller à ce qu'il ne force pas trop sur son genou.

     

     

     

     saint germain sur ay 013

     

     

    Bonne journée de mardi à vous tous et toutes !!!

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